Les chevaliers se mirent en rang. Un rang impeccable. Les lames de leurs armes scintiallaient sous le soiel éclatant. C'était une belle journée...pour tuer des rats ( )hommes lézards. En effet, ces affreuses crétaures avaient débarqués on ne savait comment, sur les terres bretonienne. Il fallait remédier à cela...en les expulsant, sauvagemment et à coups d'épées, de haches et de lance.
-Trébuchet! Tirez! Aboya une voix.
Déja, la horde ennemie avançait inexorablement vers les chevaliers, postés sur une petite colline. Celle-ci était entourée dé centaines de pieux reliés entre eux par des chaînes. Il n'y avait que deux sorties pour les bretoniens et donc deux entrées pour les saurus.
Mais, les officiers passaient outre ces deux détails et regardaient d'un air très intéressé, la direction des pierres et les troupes qu'elles lapidaient enr etombant, creusant des cratères, démembrant des ennemis.
Puis, la voix d'un autre officier aboya séchamment;
-Archers...Attention...Feu!
Et les archers ouvrirent un feu nourrit, couvrant le ciel de traits qui retombèrent sur les premiers rangs adverses, les projetant au sol dans d'affreux cris inhumains. C'étaient des Saurus.
-Encore! Encore!
Et ainsi de suite.
Petit a petit, les Saurus prirent conscience que le mieux, c'était d'utilsier leur boluclier en écaille pour se protegéer de ces flèches aiguisées. Ils levèrent leur bouclier et leur diminution en nombre cessa peu a peu.
C'est ainsi qu'ils purent s'approcher de la colline où était posté l'armée bretonienne.
Cédric brandit alors son épée vers le ciel. Il avait ôté son heaume afin d'éviter de transpirer,et, surtout, afin d emieux voir l'ennemi. Une dernière fois, il regarda les rangs alignés des chevaliers dans son dos et souris. Ils avaient fiers allures dans leurs unifore rouge avec croix blanche.
Puis, il abaissa son épée en hurlant:
-En avant!
Et deux par deux, les chevaliers sortirent de la colline pour se reformer plus loin, tout en galopant vers leurs adversaires. Deux régiments de cavalerie les suivaient de près, se mettant en Fer de Lance, tandis que le régiment du capitaine Cédric se mettait en ligne, formant ainsi trois rangs bien compacts.
Les premières a réagir furent les skinks qui lâchèrent une volée de flèches empoisonnés sans trop de succès face aux épaisses armures des bretoniens...bien que quelques flèches judicieusmeent placé mirent à bas plusieurs d'entre eux...Notamment aux endroits pas très protégés, comme le visage ou le cou.
Mais avant de percuter les colonnes ennemies, une centaine de cavaliers saurus sur Sang Froid se dressèrent devant leur chemin. Alors, les lances brfetoniennes s'abaissèrent plut$ot que prévu et un chant mélodieux retentit à travers la plaine désolée. La prière a la Dame. Pour la Victoire!
Les deux armées se percutèrent. Dès l'engagement, des dizaines d esoldats furent projetés au sol, morts ou blessés, les blessés se faisant piétiner par les detsriers d eleurs frères d'armes. Le léger avantage des Saurus était les dents de leurs animauw qui lacèrent, boryèrent des detsriers, ou des humains...mais le fait que ces Sang Froid ne soient pas très malins égalisa bientôt la donne lorsque l'un deux s'immobilisa en plein milieu d'un duel regardant un rat filer sous son museau; l'épée du chevalier bretonien trouva le coup de la bête puis dans la seconde le torse du Saurus.
Il y eut plusieurs cas de ce genre mais l'armée bretonienne, plus nombreuse, avait cernée les cavaliers saurus et les massacraient sans état d'ame alors que les deux autres rgéiments de cavaleries humaines continuaient leur chemin vers les hordes ennemies et les percutaient. Les premiers rangs sauriens furent décimés en quelques secondes avant que des Kroxigors jaillissent d'un petit bosquet pour se ruer sur les chevaliers.
Balançant de toutes parts leurs énormes haches, les Kroxigors pénétrèrent l'armée bretonnienne. Des dizaines d'humains volèrent dans les airs suivis d'une gerbe de sang.
Enfin, le régiment principal des chevaliers, dirigés par Cédric, acheva les survivants saurus et se reformèrent avant de fondre sur les autres saurus afin d eprêter main forte à leurs camarades
de plus en plus en difficulté.
Cédric apperçut les Kroxigors. Il fit signe à plusieurs de ces camarades de le suivre et il décrivit une boucle vers les gros monstres. Il comptait profiter de la surprise pour les attaquer et cela réussit. L'impact des chevaliers mit à terre trois de ces créatures avant que celles-ci ne daignent se rendre comptent de la présence de renfort.
Mais il était trop tard. Les survivants réagirent et attaquèrent en priant la Dame, tailladant les kroxigors survivants.
Puis, alors, qu'ils allaient pivoter vers le gros des combats, une boule de flamme s'abattit au milieu de deux cavaliers, les descellant. Un troisième reçut l'impact en plein torse.
-Les salamandres! Hurla le capitaine.
Avec son équipe, il se fraya tant bien que mal un chemin vers les créatures, tuant saurus et skinks, bien que ceux-ci aient plus tendance à fuir en les voyant arriver, dès fois, sans décocher une seule fléchette.
Les piques-culs skinks, ceux qui se chargeaient de contrôler la salamandre se rendirent alors compte de cette arrivée. Certains s'enfuirent, un autre fut bouffé par une salamandre et les autres voulurent se battre, mais furent fauchés par les pattes des chevaux tandis que hache,s épées et morgenstern tombaient sur les crêtes et les gueules des salamandres, les massacrant.
Bientôt, l'armée saurus ploya sous les coups que faisaient pleuvoir sand répit les bretoniens.
Les renforts humains chargèrent alors; des centaines de fantassins, des milliers se ruèrent pour la curée...et bien que beaucoup moins fort, ils achevèrent d emetre en fuite les saurus, non sans laisser des dizaines et des dizaines de soldats sur le carreaux. Cibles plus faciles pour des skinks et moins bien protégés, d'autres perdirent la vie, tandis que des tireailleurs, courageux, skinks, avaient contournés les lignes des combvats pour s eporter à la rencontre des humains.
Découragés, toutefois, et malgré leur talent naturel de flegme...les saurus, voyant des milliers de leurs congénères succombaient, cohrbèrent l'échine, pivotèrent, lâchant leurs armes et s'enfuirent, la queue entre le sjambes...poursuivit sans relâche par des chevaliers furieux, notamment par les jeunes chevaliers errants, tandis que les chevaliers du royaume, du moins quelques régiments s'immobilisaient.
A la fin de la journée, la Victoire était présente. Les saurus avaient disparus des terres bretoniennes. Et leurs cadavres furent mis sur des bûchers ou dans des fosses communes, tandis que les humains étaient enterré dans un cimetière et qu'on plaçait un monument à leur gloire...dont ils ne sauraient jamais rien...Une autre statue fut érigée en l'honneur de Cédric...
