Forum Nains , Duardins , Fyreslayers et Kharadrons Jeux et loisirs |
Bienvenue Invité
Nouveautés:
Blog : Si vous souhaitez un mini article tout les jours qui parle de nains ou ce qui les concernent, c'est ici!
Pour ceux qui veulent "Discord" (logiciel vocale gratuit) entre Nains:
Demander l'adresse par mp à "Grodbur Kazgar" membre du forum.
|
|
| Karak Grom, la forteresse du défi éternel | |
| | Auteur | Message |
---|
Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Jeu 25 Oct 2012 - 10:01 | |
| Karak Grom, son histoire : L’origine de la forteresseIl faut attendre la chute de Karak-a-Odro-Karaz (Karak aux huit pics en Khazalid). En effet, le fondateur de la forteresse, le vénéré roi Godri Tonnefeu, qui était alors le Thane à la tête du clan Byrnik, habitait avec son clan dans la puissante forteresse naine. Et comme tous les nains le savent, lors de l’assaut final sur le Kazad éprouvé, le vieux roi Lunn, seigneur de Karak-aux-Huit-Pics fit murer les tombes des ancêtres et parti avec les survivants qui voulaient le suivre en emportant la plus grande partie des trésors de la forteresse, ceux non transportables étant enfouis avec les tombes. Avec le roi partirent beaucoup de nains, même si certains tinrent vaillamment leurs position afin d’offrir une retraite honorable à leurs frères, parmi les suivants se trouvait Godri Tonnefeu, alors très jeune, à la tête de son clan. Le roi Lunn lui offrit en cadeau le mur du roi, une lourde et antique chaine qui se trouvait auparavant dans la salle du trône du roi et que seuls ceux qui en étaient autorisé par le seigneur du Kazad pouvaient la franchir. Lunn fit également la promesse que, lorsque Godri aurait terminé la construction de son Kazad et siégerait enfin sur son trône, alors Lunn, ou son descendant, viendrait en personne demander à Godri la permission de passer la chaine. Ainsi se séparèrent les deux éminents personnages, Godri partant avec son clan trouver un endroit propice à la fondation d’un puissant Kazad tandis que Lunn et le reste des survivants se dirigeaient vers Karak Azul pour y demander asile. Ils y furent d’ailleurs accueillis à bras ouverts et c’est là que la plupart des descendants des nains de Vala Azrilungal (un des noms de Karak-aux-Huit-Pics) résident toujours, mis à part les suivants de Belegar et de son cousin Duregar, qui tentent encore et toujours de reconquérir la forteresse de leurs ancêtres, mais ceci est une autre histoire. Ainsi donc, après une soixantaine d’années d’errance dans les montagnes, le clan Byrnik finit par trouver un emplacement idéal pour leur forteresse : le Col au Crâne. Et la construction de la forteresse pu ainsi commencer. Grâce à la forêt à proximité, les nains ne manquèrent pas de bois, ni de nourriture (car les bois n’étaient pas déserts de bétails). Ils reçurent également de l’aide la part de Karak Azul, la plus proche forteresse qui leurs fournit un élevage de bovins ainsi qu’un approvisionnement régulier en métaux en attendant que les mineurs aient développé un réseau de mine suffisant. En près de trois siècles, dont le dernier vit la naissance du fils de Godri, Aurik, la forteresse était terminé, à l’exception que seule manquait ma porte principale de la forteresse, qui devait arriver bientôt, acheminée depuis Karak Azul dont les forgerons les plus renommés avait construit la porte. Karak Grom, ou la forteresse du défi éternel allait bientôt être réellement et définitivement terminée. Mais c’était sans compter sur le destin, qui décida d’y envoyer une Waaaagh ! gobeline guidée par un chef gobelin de la nuit, Dagskar Perce-Oreilles... Suite à venir... | |
| | | Romarik Levert Administrateur
Nombre de messages : 5789 Age : 39 Localisation : Haute Savoie Date d'inscription : 30/04/2005
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Jeu 25 Oct 2012 - 13:27 | |
| - Citation :
- la chute de Karak-a-Odro-Karaz (Karak aux huit pics en Khazalid)
karak en traduction c'est "forteresse". Forteresse aux huit Pics. Si c'est ce que tu demandes. En quel année ça se passe exactement? Car la chute de Karak aux Huits Pics , y en a eu plusieurs. (reconquête/re-chute/reconquête, etc...) | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Ven 26 Oct 2012 - 8:29 | |
| - Romarik Levert a écrit:
-
- Citation :
- la chute de Karak-a-Odro-Karaz (Karak aux huit pics en Khazalid)
karak en traduction c'est "forteresse". Forteresse aux huit Pics. Si c'est ce que tu demandes. Non, ce n'est pas ce que je demande. Le nom que les humains donne à la forteresse c'est Karak aux Huit Pics, c'est en gros Karak a odro Karaz. ET en plus Karak sa veut dire "chose qui dure", c'est Kazad qui signifie "forteresse"... Et puis pour la date, quand je parle du roi Lunn, ça devient évident... C'est la première chute ! (donc vers -513) Grom' | |
| | | Romarik Levert Administrateur
Nombre de messages : 5789 Age : 39 Localisation : Haute Savoie Date d'inscription : 30/04/2005
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Ven 26 Oct 2012 - 9:45 | |
| - Gromdal Drekgiti a écrit:
- Romarik Levert a écrit:
-
- Citation :
- la chute de Karak-a-Odro-Karaz (Karak aux huit pics en Khazalid)
karak en traduction c'est "forteresse". Forteresse aux huit Pics. Si c'est ce que tu demandes. Non, ce n'est pas ce que je demande. Le nom que les humains donne à la forteresse c'est Karak aux Huit Pics, c'est en gros Karak a odro Karaz. ET en plus Karak sa veut dire "chose qui dure", c'est Kazad qui signifie "forteresse"... J'ai donc confondu avec celui ci: http://dictionnaire.sensagent.com/karak/fr-fr/ Non sérieusement... en regardant ici: https://romarik.forumactif.com/t411-dictionnaire-nains-warhammerCette liste reprise dans les livres uniquement officiels de games workshop (qui aujourd'hui, certaines livres ne se vendent plus...) Le mot karak veut bien dire "qui dure" certes certes... mais si tu mets un autre mot à côté , elle change de sens... d'où la grammaire complexe chez les nains! Et en effet Kazad veut dire forteresse. Mais je pense que les nains ont deux conceptions d'une forteresse. Une petite forteresse simple avec porte et tour.... et une gigantesque forteresse qui abriterai quasiment une grosse ville. Bref, c'est l'embrouille que même aujourd'hui on est toujours dans l'embrouille... Bref. Tu as raison (allez vivement la suite de ton histoire). | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Ven 26 Oct 2012 - 11:54 | |
| - Romarik Levert a écrit:
- Cette liste reprise dans les livres uniquement officiels de games workshop (qui aujourd'hui, certaines livres ne se vendent plus...)
Justement si ! Ce livre est disponible sur le site GW. Par contre il est en anglais (mais pour moi c'est pas trop un problème... ) C'est pour ça que je m'y connais un peu ! - Citation :
- allez vivement la suite de ton histoire
Et bien la voici ! La bataille du Col au CrâneS’assurant le contrôle de la tribu des gobelins de la nuit de la Lune Crochue par l’assassinat de son ancien Chef, le perfide gobelin de la nuit devait tout de même recevoir l’autorisation du Grand Chef de Karak-aux-huit-pics pour devenir lui-même Chef. Cependant, l’ancien Grand Chef lui refusa le titre, sauf s’il parvenait à expulser et exterminer les Nains de la forteresse du Col au Crânes. S’il échouait, le postulant au titre de Chef finirait dans le ventre du prédécesseur de l’actuel Gobbla… Dagskar s’assura les services d’un chaman, Nazbad Doigts Crochus et celui-ci vint avec un troll asservi, trouvé dans la forêt du Kazad. Les premières actions du chef de guerre furent de brûler la forêt et de capturer l’élevage de bovins. Dans les deux cas, le succès fut mitigé : une partie seulement de la forêt fut consumée, laissant assez de bois pour que les nains puissent survivre à l’hiver si un siège se présentait, et il y eu un survivant lors de l’attaque de l’élevage et le Kazad fut alors alerté, engagea un tueur de dragon du nom de Borri et se mit sur le pied de guerre, d’autant plus que leur principale source de nourriture avait disparu. Une expédition de rangers fut alors dépêchée pour espionné l’ennemi, et avec eux vint Skaari Otgunsson, le gardien de l’élevage survivant, qui avait juré de combattre de tout son cœur les vils Grobal. Ils découvrirent ainsi l’étendue de l’armée gobeline : près de 6 centaines de Grobi, dont les chevaucheurs d’araignées et le troll, tous ramenés par Nazbad, le chaman. Il y avait également une petite vingtaine de squigs. Skaari, voulant jeter la panique parmi les squigs en lâcha un carreau vers les bêtes. L’effet fut immédiat, car les squigs sont des créatures promptes au combat et bientôt, tous les Gobelins disponibles furent dépêcher pour calmer les bêtes, mais rien n’y fit et Dagskar n’eut d’autre choix que d’abattre les animaux. Au total, une vingtaine de morts, autant de blessés et une discorde toujours grandissante entre les troupes du chef de guerre et celles du chaman, chacun ce rejetant la faute de l’énervement des squigs. Cependant, le carreau de Skaari fut retrouvé et ainsi Dagskar sut que les Nains étaient au courant de son assaut. Immédiatement, les forces de Dagskar se mirent en route pour la seule voie d’accès praticable pour l’armée : le pont de Skarrenruf. Le pont de Skarrenruf, point d’accès mineur vers Karak Grom, était pour Dagskar la seule solution viable pour ne pas rencontrer les Nains en terrain découvert avant leur forteresse. Mais les vaillants défenseurs ne furent pas dupes et envoyèrent une petite garnison forte d’une centaine de Nains, dont une trentaine d’arquebusiers et deux canons. Mais cela ne suffit point face au génie militaire de Dagskar. Même si son précieux troll fut touché à deux reprise par des boulets de canon, tombant par-dessus bord, et malgré de lourdes pertes, le simple fait de prendre le pont fut une source de jubilation pour le chef de guerre. Il récupéra même la dépouille du fils du roi, Aurik, ainsi qu’un prisonnier, qui n’était autre que Skaari. Une seule chose comptait : Karak Grom allait bientôt être à sa merci. Mais les Nains restant à la forteresse n’avaient pas perdu leur temps : ils n’avaient pas de portes, qu’à cela ne tienne ! Et ils creusèrent des tranchées ainsi qu’ils élevèrent des barricades. Et, en cas de dernier retour, Nagrim, chef de la guilde des ingénieurs du Kazad, fit poser des charges de démolition sous les piliers du grand hall de la forteresse : s’ils ne pouvaient garder leur Kazad, au moins les Grobi ne le prendraient pas ! Pendant ce temps, l’armée gobeline traversait peu à peu le pont puis s’assemblait en vue du grand affrontement sur la plain bordant l’entrée principale du Kazad, et Dagskar réfléchissait à une nouvelle stratégie en bas du gouffre, à cause de la perte de son troll, et, Oh, surprise ! voilà que celui-ci sortit de dessous un tas de rochers, hébété, amoché, mais entier. Bien, le plan pourrait se dérouler comme prévu… Et ainsi les deux armées se rencontrèrent sur la plaine de Milluz Uzkul a Grobi, ce qui veut dire les mille morts des gobelins. D’un côté, six centaines de gobelins déterminés à conquérir le Kazad, et de l’autre, trois cents Nains déterminés à mourir pour le sauver. La bataille débuta lorsque Nazbad déclencha la Waaaagh! Grâce à ses pouvoirs. Aussitôt, les gobelins emplis de fanatisme suicidaire se lancèrent à l’assaut, les archers lançant sporadiquement des volées, mais celles-ci causèrent plus de pertes chez leurs camarades que leurs ennemis… Et le massacre commença : Godri, au centre de la première ligne et accompagné de ses fidèles marteliers, montra l’exemple en tuant les Grobi par dizaines, et les autres guerriers, inspirés par leur roi, se montrèrent tout aussi exemplaires. Mais les gobelins n’en avaient que faire de leurs pertes et s’élançaient sans relâche sur les lignes naines. Dagskar, posté sur une colline surplombant la plaine avec Nazbad et chacun une dizaine de leurs gardes, sans compter la dépouille d’Aurik, Skaari et le troll, observait le combat et décida de mettre son plan mûrement préparé à l’action : Skaari, attaché sur un chariot nain (trouvé non loin du pont) avec à son côté le cadavre d’Aurik, et, caché dans le chariot, le troll furent lancés sur le champ de bataille alors que Nazbad, déployant son art, faisait reculer les Nains dans la forteresse pendant que quelques gobelins des forêts profitaient de leurs montures pour grimper sur les murs et prendre les défenseurs à revers. Bien évidemment, Godri pensa que Skaari avait réussi à s’enfuir et à récupérer Aurik au passage, et ordonna qu’on les laisse passer, sans entendre les cris de Skaari, lui disant de ne pas le faire, à travers le vacarme du combat. Et, dès que le chariot eu franchi les lignes Naines, le troll sorti du chariot (l’envoyant au voler au passage et libérant Skaari) et commença à massacrer les Nains, qui, surpris, ne se défendirent que mollement. Le seul à ne pas être décontenancé était Borri qui s’élança avec le troll dans une dance de mort, qui eut pour issue la mort des deux protagonistes et de Skaari (qui aida Borri à tuer le troll et le paya de sa vie). Mais le troll n’avait pas fait que tuer quelques Nains : il avait brisé les lignes naines, offrant un avantage sans précédent aux gobelins qui saisirent l’occasion au vol. Le coup de grâce fut porté lorsque Godri entendit un les cris des arrières aux prises avec les gobelins sur araignées, et le roi décida de sonner la retraite et ordonna à Nagrim de faire sauter les piliers. Aussitôt les Nains se retirent dans les salles au plus profond du Kazad, et les gobelins, avec Dagskar à leur tête, s’engouffrèrent dans le hall à leur suite … et furent accueilli par la chute de plusieurs milliers de tonnes de pierre s’effondrant sur eux. Ainsi se termina la bataille du Col au Crâne, l’effondrement du hall n’ayant laissé que quelques survivants, dont Dagskar, qui repartirent en fuyant à Karak aux-huit-pics. Mais, de leur côté, les Nains ne s’en tirèrent pas à bon compte non plus. En effet, il ne restait plus de toutes l’armée que 150 guerriers dont la plupart étaient blessés, et leur Kazad était en ruine… Mais ils étaient Karak Grom, le défi éternel. Ils survivraient. Quant à Dagskar, on dit qu’il fut le meilleur repas du squig de l’ancien seigneur de guerre de Karak aux huit pics … N'hésitez pas à poster vos commentaires ! Grom' | |
| | | Romarik Levert Administrateur
Nombre de messages : 5789 Age : 39 Localisation : Haute Savoie Date d'inscription : 30/04/2005
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Sam 3 Nov 2012 - 4:56 | |
| J'ai enfin pu lire la suite, avec un café ...eu...bière ce matin. Récit captivant. Il est difficile de demander l'autorisation d'être chef chez les peaux vertes. En principe, le plus fort l'est. Il peut y avoir un chef pour chaque tribut dans ue horde. Et un général qui a réussi à les réunir en défiant les chefs. La forteresse a l'air mal au point...Difficile d'imaginer qu'il résistera contre une nouvelle horde. ça ne te dérangerait pas de mettre une date à chaque fois? ça aide niveau chronologie. | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Sam 3 Nov 2012 - 9:03 | |
| - Romarik Levert a écrit:
- Il est difficile de demander l'autorisation d'être chef chez les peaux vertes. En principe, le plus fort l'est. Il peut y avoir un chef pour chaque tribut dans ue horde. Et un général qui a réussi à les réunir en défiant les chefs.
C'est pas à moi mais à Nathan Long (l'auteur du récit que j'ai résumé) qu'il faut le dire ! Parce que cette partie de l'histoire de ma forteresse vient directement du fluf GW, je n'ai fait que le développer un peu ! - Citation :
- La forteresse a l'air mal au point...Difficile d'imaginer qu'il résistera contre une nouvelle horde.
Il n'y en aura pas... enfin pas pour le moment. Le seul truc qui va arriver, c'est une force de Karak Azul (avec les portes de la forteresse) et des skavens. - Citation :
- ça ne te dérangerait pas de mettre une date à chaque fois? ça aide niveau chronologie.
Eh bah... oui ça me dérangerait ! Mais je vaos voir ce que je peux faire ! Je trouve ça suffisament clair avec le repère chronologiques écrits (chute de karak aux huit pics, 60 + m siècles...) En fait là on est en 149 av. Sigmar. grom' | |
| | | Durin jeune nain
Nombre de messages : 167 Date d'inscription : 29/10/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Mar 6 Nov 2012 - 3:51 | |
| T'as une dent contre les peaux vertes, mais plus particulièrement les gobelins de la nuit, c'est ça? - Citation :
- Et, dès que le chariot eu franchi les lignes Naines, le troll sorti du chariot (l’envoyant au voler au passage et libérant Skaari) et commença à massacrer les Nains, qui, surpris, ne se défendirent que mollement.
késako? Que leur est-il arriver? Manque de bugman? | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Mar 6 Nov 2012 - 11:32 | |
| - Durin a écrit:
- T'as une dent contre les peaux vertes, mais plus particulièrement les gobelins de la nuit, c'est ça?
Moi non, l'auteur peut-être, mais moi ça va... - Citation :
-
- Citation :
- Et, dès que le chariot eu franchi les lignes Naines, le troll sorti du chariot (l’envoyant au voler au passage et libérant Skaari) et commença à massacrer les Nains, qui, surpris, ne se défendirent que mollement.
késako? Que leur est-il arriver? Manque de bugman? Effet de surprise, tout simplement ! (et I2, aussi... ) Et puis sinon demande à l'auteur ! Grom' | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Jeu 24 Jan 2013 - 13:06 | |
| Salut ! Un petit WIP de l'emblême de ma forteresse en plus "stylisé" : Qu'en dites-vous ? Grom' | |
| | | Romarik Levert Administrateur
Nombre de messages : 5789 Age : 39 Localisation : Haute Savoie Date d'inscription : 30/04/2005
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Jeu 24 Jan 2013 - 16:03 | |
| Juste le gros triangle suffirait, car là je le trouve très "chargé".
En tout cas joli! | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Ven 25 Jan 2013 - 10:47 | |
| Merci ! - Romarik Levert a écrit:
- Juste le gros triangle suffirait, car là je le trouve très "chargé".
Bah en fait c'est un peu le but... En fait c'est l'énorme symbole super stylisé qui se trouve au dessus de la porte placée au fond de grand hall d'entrée de la forteresse. Donc il faut impressioner le visiteur. Donc c'est chargé. Grom' | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Dim 24 Fév 2013 - 2:50 | |
| Une petite introduction à un nouveau chapitre de l'histoire de ma forteresse, avec un aperçu de différents hauts faits antérieurs de ma forteresse...
Enjoy !
_____________________________
Nous sommes ici au Karaz Ankor, le Royaume des Nains. Plus précisément, au Col au Crâne, quelque part entre Karak Azul et Karak a Odro Karaz. Là, c’est le siège de la petite forteresse de Karak Grom, fondée après la chute de l’antique forteresse Karak aux Huit Pics. Elle garde le Col au Crâne depuis tout ce temps, eh oui ! Ça n’a pas été de tout repos, d’ailleurs : rien qu’avec la fondation même de la forteresse, sur les cadavres fumants d’une Waaaagh! gobeline, on a un bon aperçu de son histoire… Oui, c’est vrai que de partout, des ennemis arrivent pour prendre d’assaut n’importe quel Kazad. Mais il ne faut pas en faire une généralité. Parlons-en, de ces guerres ! Même que dernièrement — il y a neuf ans de cela — la forteresse a subit un nouvel assaut. Quoi ? Vous n’êtes pas au courant ? Eh bien ! Là je vois que vous ne passez pas souvent par ici ! Laissez-moi donc vous conter cette fabuleuse épopée, si vous aimez les batailles sanglantes et les combats héroïques ! Oui ? Ah, voilà qui tombe bien, alors ! Et puis, dites-vous bien que vous ne pourrez trouver de meilleur orateur que moi… Eh oui, j’y étais, moi ! Simple guerrier dans les rangs, certes, mais présent ! Et ce du début jusqu’à la bataille finale ! Allez, commençons par le commencement, par la toute première rencontre entre les fiers habitants de la forteresse et le sombre pouvoir qui allait s’abattre sur ces derniers…
Nous voilà donc à Harikmingol, la tour de Harik. Vous savez, la petite tour qui garde le sentier des larmes, dans le Bois de Cuivre, à l’Est de la forteresse ! Quoi ? Vous ne le savez pas non plus ? Je vois. Une petite explication s’impose.
Alors, tout d’abord, ce qu’il faut savoir, c’est qu’une grande forêt entoure la forteresse, et recouvre donc la plus grand partie de son territoire, ce dernier étant de surcroît plutôt vaste. Il est vrai qu’elle a été brûlée il y a longtemps, mais en plus de deux mille ans, il y a de quoi replanter plus d’une forêt… Donc je disais, le Bois de Cuivre recouvre en partie le territoire des Nains. Il y a certes des avantages — du gibier à foison, une source quasi inépuisable de bois, et j’en passe ! — mais il y a aussi certains inconvénients… Eh ! Il est plus facile de surveiller une plaine qu’une immense forêt de pins ! C’est pourquoi, sous le règne du troisième roi de la forteresse, Thragil, fils d’Agrund, fils de Godri, on construisit un important réseau de tours pour garder la forêt et les principaux axes menant à Karak Grom. Que voulez-vous ! Les précédents assauts contre la forteresse avaient alors marqués les esprits… Et avec raison, car ces tours ce prouvèrent plus qu’utiles en maintes et maintes fois. Mais reconcentrons nous sur Harikmingol. Donc, comme je le disais plutôt, elle est une de ces tours construites il y a bien longtemps, gardant une petite partie de la forêt couvrant le flanc Est du Karaz-a-Kazad, littéralement, et concrètement, le Mont du Fort, la montagne de l’entrée de Karak Grom. Par cette tour passe une voie menant au deuxième col mineur entre Karaz-a-Kazad et le Karaz Bryn, le Mont de Lumière, où se dresse la grande tour, Brynmingol, là où tous les convois venant de Karak Azul passent, allumant un grand bûcher en haut de l’édifice pour prévenir leur arrivée, d’où son nom. Il échut donc aux gardes de Harikmingol de surveiller la route du col, col appelé Kadrin-a-grob-Varn, le col du lac vert, car au centre de celui-ci se trouve un petit lac aux eaux couleur d’émeraude, là où le roi Dramnir Thrungisson combattit dans un combat singulier le dragon vert Esklandir, dont les écailles garnirent le fond du lac, répandues par les Nains de Karak Grom en hommage à leur suzerain, car Dramnir, après avoir tué le dragon, se jeta dans le lac pour épancher le feu qu’Esklandir avait lâché sur le roi, et mourut dans les eaux du lac, incapables de drainer les flammes magiques de la bête… Bref, la petite garnison effectuait de longues rondes sur la voie naine, ayant pour but de l’entretenir, en plus de la protéger. À l’époque où commence mon récit, c’était le vieux Harik qui gardait la tour. Ça faisait plus de cent ans qu’il était là, le Thane, un vrai ranger, expérimenté et tout ça… Et un vrai chef aussi. Eh oui, lui il sait donner des ordres, lui ! Surtout que vu qu’il est là depuis ses cinquante ans… En tout cas, il va sans dire que c’est un guerrier aguerris, et sans peur. Avec de surcroit une très bonne expérience du terrain et des tactiques sûres. Je vous le dis : on ne pourrait pas trouver mieux que lui à la tête de la garnison ! Enfin bon, voilà pour le vieux Harik… Avec lui dans la veille tour, il y a une petite trentaine de gars, dont moi, à l’époque. Pour la plupart des vieux rangers aguerris, presque aussi vieux que le Thane, avec quelques nouvelles recrues avides d’aventure et d’expérience — bien qu’il ne se passe pas grand-chose, là bas, à part quelques grobi et squigs à chasser de temps en temps — et trois apprentis ingénieurs dépêchés pour s’occuper du canon. Parce que chaque tour dispose d’une pièce d’artillerie, oui oui oui… Quand je vous disais que ça avait marqué les esprits, toutes ces batailles… Voilà, vous êtes à peu près au courant de tout ce qu’il faut savoir avant de commencer le récit…
Donc, nous voilà en 2546, devant la tour de Harik, les rangers en train de polir placidement leurs armes, assis sur des troncs d’arbres qui leur servent de banc. Ils attendent les autres rangers partis pour leur ronde, parce qu’après, c’est leur tour. Trois heures de marche aller, trois heures retour, avec une heure de bivouac à côté du Grob-Varn. Une petite trotte, quoi, surtout quand on fait ça une fois par jour au moins… Et donc, les voilà là à affuter leurs armes, et c’est alors qu’un cri retentit dans la forêt. Il vient de la route.
C’est un cri de Nain.
__________________________________
Comme d'hab' je suis ouvert à tous les commz' !
Grom' | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Mer 27 Fév 2013 - 3:07 | |
| Que de commentaires ! Peut-être que la suite vous plaira plus. Bon je vous préviens je n'en suis pas content... Mais c'est à vous de voir. ____________________________________ Comme un seul homme, tous se levèrent, calmement, posèrent leurs pierres à affuter, prirent leurs haches, leurs boucliers et leurs arbalètes. En haut, on entendait les cris des apprentis et le grincement de la pière sur le métal. Harik rugit un ordre et tous prirent leurs positions. Sept tireurs, dans la tour. Six frères pour faire un mur d’acier devant la porte, leur Thane avec eux. Restaient les autres sept tireurs, leurs lourdes haches à portée de main, qui se postèrent derrière le petit muret qui entourait la tour. Silence. Puis une forme apparut sur le chemin. C’était un Nain. Un de ceux qui étaient partis ce matin pour leur ronde. Il courait. Il hurla quelque chose de nouveau, mais les gardes nains étaient trop loin pour le comprendre. Puis une détonation retentit sur la route et le ranger s’effondra. Pour ne jamais se relever. Silence. Puis, là, au bout de la route, ce sont d’autres tâches qui arrivent. Rouge. Petites, armure flamboyantes, avançant lentement. Et c’est un cri qui retentit : des Dawi Zharr ! Les frères trois fois maudits, les fils de leur père des ténèbres ! Ils sont de retour ! On entend en haut le bruit d’un briquet, ce qui n’annonce qu’une chose : le canon est prêt. Mais déjà on retourne notre attention sur le petit groupe de Nains du Chaos qui s’avance. Ils sont peu, entre une trentaine et une vingtaine, rien de plus. Déjà on entend des soupirs de soulagement chez les plus jeunes, mais ils sont bien vite étranglés, car derrière le groupe de gardes infernaux, d’autres formes annoncent ! Et celles-là, elles sont plus grandes, plus larges plus noires. On aperçoit alors des cornes, et là, plus aucun doute : ils ont amené des centaures-taureaux avec eux… Six d’entre eux accompagnent le groupe, dont un avec une gigantesque armure noire comme la nuit. Une sacrée vue, oh oui ! Là y en a eu, du mouvement dans les rangs… Mais le vieux Harik il était là, lui aussi, et un mot de sa part, plus personne ne bougeait. Tous attendaient que les Dawi Zharr s’approchent à portée de tir, et là, ils allaient leur montrer que les Nains de Karak Grom n’étaient pas à prendre à la légère… Et c’est là qu’un curieux personnage se détache du groupe. Il est torse nu, et s’appuie sur un étrange bâton au bout de quel se tient un petit brasero fumant. Un sorcier… Tous s’arrêtent, Nains, déchus ou non, et les centaures-taureaux aussi : on sent que quelque chose d’important se prépare… Le seul bruit qu’on entend, ce sont les malédictions que le vieux Thane profère dans sa barbe. Que voulez-vous ! Lui, ça l’arrangerait bien d’avoir un maître des runes sous la main… Mais déjà, il n’a plus le temps d’y penser parce que le sorcier s’est mis à chanter une bien singulière litanie. Si une pierre pouvait hurler de rage, je pense bien que ça y ressemblerait. Puis il tend la main vers son brasero au bout du bâton, plonge la main dans les flammes puis répand d’un grand geste les cendres et les braises qu’il y a récupérées, et le nuage se répand, se répand… Tant et si bien que le groupe des Dawi Zharr est tout entier aspiré dedans. Puis le nuage de cendre avance vers la route, et on entend des cris rauques et des bruits de sabots. Ça y est, ils chargent, cachés dans leur nuage. Soudain, il y a un grand bruit et un boulet passe en sifflant au-dessus des têtes des gardes. Explosion. Puis le nuage se dissipe au niveau de l’impact, les cendres éparpillées par le souffle du boulet, et l’on peut voir un centaure-taureau gisant à terre, et un autre mourant. Cris de joies ! Mais on se reconcentre bien vite, car le reste des attaquant est toujours caché par la nappe de cendre… On entend quelques tirs d’arbalètes, mais c’est sans espoir. Tous sortent leurs haches. Et là, c’est une grande lumière qui jaillit du nuage. Une boule de feu ! Elle passe au-dessus des têtes des gardes et heurte violement la tour. Heureusement pour les Nains, la tour tremble mais ne fléchit pas. Toujours est-il que la boule de feu a dissipé complètement le nuage. Vite, les Nains reprennent leurs arbalètes, tirent et rechargent tant qu’il est encore temps. Les carreaux sifflent, mais les gardes infernaux se cachent derrière leurs boucliers, et les carreaux qui arrivent à passer rebondissent pour la plupart sur les épaisses armures maudites. Deux guerriers s’effondrent, des carreaux ayant trouvé le chemin jusqu’à la fente de leur visière. Mais cela ne décourage pas les infâmes Nains qui avancent stoïquement. D’ailleurs, certains sont équipés de courts fusils, garnis en leurs bouts de têtes d’haches — des glaives de feu — et ripostent. Heureusement les balles sifflent au-dessus des têtes ou s’écrasent contre le muret. Mais déjà, le canon retire et le boulet traverse de part en part un centaure-taureau, éparpillant ses restes aux quatre coins du chemin. Un autre titube : il s’est pris un éclat dans la jambe. Et c’est là qu’on se rend compte qu’on les avait oubliés, ceux-là ! Eh oui, les gardes, occupés à tirer sur les Dawi Zharr, s’étaient désintéressés des centaures-taureaux, pourtant à mi-chemin entre tour et leurs compagnons d’armes, chargeant avec frénésie… Mais les Nains se rattrapèrent bien vite, abattant la créature blessée, et criblant, malheureusement sans effet, les deux derniers de flèches. Et soudain, c’est l’impact : les centaures-taureaux sautent au-dessus du muret, atterrissent dans la petite cour intérieure et le combat commence. Les Nains les plus malchanceux n’ayant même pas le temps de saisir leurs armes avant d’être terrassés d’un grand coup de hache. Il faut dire qu’ils manient deux haches chacun, ces centaures-taureaux ! Devant la porte, le combat s’organise, et les centaures-taureaux se font bien vite encercler. Ce qui ne les empêche pas de massacrer les gardes ! Déjà, dix frères d’armes gisent à terre, morts, mourant ou gravement blessés. Mais le combat ne se déroulaient pas qu’ici, car dans la tour, la résistance s’organise : on recharge le canon, on tend les arbalètes, on se passe les carreaux et on tire. Soudain, un cri d’alarme retentit. Tous regardent à travers les meurtrières. C’est le sorcier qui s’est remis à chanter. Malédiction ! entend-on dans la tour. Un halo doré entoure les mains du mage, et il brille, brille, brille et c’est un gigantesque rayon de lumière qui jailli de ses mains et vient frapper le bas de la tour. D’ici, on ne voit rien de ce qui se passe en bas, alors on pourrait se demander ce que c’était… Mais on n’a pas le temps d’y penser, car d’autres choses tout aussi importantes ce passe chez les gardes infernaux… Le sorcier s’est recroquevillé sur lui-même et n’avance plus. Il semble suffoquer… Et soudain il se redresse et jette un râle déchirant avant de se figer. C’est alors que les tireurs distinguent le torse du mage. Il est gris, craquelé… Ah ! La malédiction des sorciers Nains ! Voilà ce qui leur arrive à manier trop de pouvoir… On jubile dans la tour. Mais les gardes infernaux continuent leur avancée, nullement décontenancés par la mort de leur chef… En bas, le combat est plus rude, car le dernier sort du sorcier n’était pas bénin : une demi-douzaine de statues de bronze à l’image de guerriers nains au combat garnissent à présent la petite cours, et c’est autant de gardes de moins… Finalement, c’est le vieux Harik qui reste seul devant la porte, stoïque. Il restera ici jusqu’à ce qu’il tombe, où jusqu’à ce que les créatures soient mortes à ses pieds. Le centaure-taureau en armure noire — leur chef — s’avance lentement. Ce sera un défi. Un combat à mort. Mais c’est le deuxième centaure-taureau qui ne l’entend pas de cette oreille. À lui la gloire ! se dit-il sûrement en chargeant le thane, brandissant à deux mains sa dernière hache. D’un grand coup, il l’abat violemment sur le parvis, là où Harik se tient, le visage de marbre. Mais ce dernier fait un pas de côté et voilà la hache qui mort dans la pierre et y reste coincée. Le thane ne perd pas son temps : pendant que la bête se démène pour enlever sa hache, celle du Nain décrit un brillant arc de cercle qui termine sa course dans le coup du centaure-taureau et envoie sa tête rouler sur le sol. Il faut dire qu’elle coupe bien, la hache du vieux Harik… Une bonne vieille arme runique que le roi lui-même lui a offerte quand il l’avait nommé thane d’Harikmingol, forgée par le maître des runes le plus éminent de la forteresse. Mais déjà le thane se retourne vers le dernier centaure-taureau. Ce dernier a observé patiemment le court combat entre son guerrier et le thane. Il n’est pas devenu chef pour rien, lui ! — je crois qu’on les appelle les taur’uk — Il s’avance et voilà que le combat s’engage, gomril contre sombre acier, Nain contre Nain du Chaos. Et ça dure, personne n’arrivant à prendre le dessus… Puis le taur’uk laisse une ouverture et voilà la hache qui s’engage et rencontre l’armure. Celle-ci résiste contre la hache, ses runes brillant fortement, mais les runes du vieux maître des runes se prouvèrent à la hauteur et la hache s’enfonce dans l’armure. Là, le centaure-taureau marque un temps d’arrêt. Rien ni personne ne pouvait jusqu’à lors forcer une brèche dans son armure, et voilà qu’un vieux Nain trouvait une faille dans ses coups et dans son armure également… C’est à ce moment que des cris de joies retentissent en haut de la tour. Thane et taur’uk se retournent vers la route, et voilà que le spectacle d’un chemin parsemé de cratères fumant s’étend devant eux. Mais ce qui fait la joie des guerriers nains, c’est que les derniers gardes infernaux sont tombés, un tir de maitre de la part des canonniers en ayant éparpillés la plupart, et les arbalétriers ayant finis les restes. Le taur’uk se rend alors compte qu’il est seul, seul contre un adversaire qui se montre pour une fois supérieur à lui… Avec un dernier regard méprisant pour le thane, et un grognement furieux, voulant sûrement signifier « nous nous retrouverons », le centaure-taureau tourna les talons et s’enfuit. Aucun des tireurs, pris dans leur joie, ne songea à lui tirer dessus. De toute façon, à part le canon, rien n’aurait pu le blesser, et la pièce d’artillerie était bien incapable de toucher une cible unique et se mouvant si rapidement. Amère victoire, cependant, car de la trentaine de vaillants Nains ne restaient qu’une petite dizaine de guerriers éreintés. Mais ils allaient devoir survivre, car ils détenaient un savoir important qu’ils se devaient de transmettre au plus vite à la forteresse. Les Nains du Chaos étaient de retour. _______________________________________ Tous les commz' sont les bienvenus ! Grom' | |
| | | barnab de Karaz-zank Longue barbe
Nombre de messages : 959 Age : 28 Localisation : Genève Date d'inscription : 20/12/2008
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Mer 27 Fév 2013 - 7:40 | |
| Très joli J'ai vraiment eut l’impression de lire un rapport de bataille. Si tu veux nous faire tout l'histoire de ta forteresse comme ça...bonne chance Allez une suite ! | |
| | | Gromdal Drekgiti Longue barbe
Nombre de messages : 667 Age : 28 Localisation : Somewhere, beyond the sea ... tralalaaaa Date d'inscription : 02/09/2012
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel Mer 27 Fév 2013 - 7:48 | |
| Merci ! - barnab de Karaz-zank a écrit:
- Si tu veux nous faire tout l'histoire de ta forteresse comme ça...bonne chance
Nan, là c'est vraiment à l'occasion de l'invasion des Nain du Chaos... PArce que si je faisais toute l'histoire de ma forteresse comme ça, je ne m'en sortirais jamais... - barnab de Karaz-zank a écrit:
- Allez une suite !
Oui mais là il faudra attendre un petit peu parce que il faut que je planche un peu sur les Chroniques, aussi... Grom' | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Karak Grom, la forteresse du défi éternel | |
| |
| | | | Karak Grom, la forteresse du défi éternel | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|