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 [Background/Inofficiel] L'histoire de Seivan

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Hagrim l'Elgidum
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MessageSujet: [Background/Inofficiel] L'histoire de Seivan   [Background/Inofficiel]  L'histoire de Seivan EmptyLun 3 Déc 2007 - 7:16

Chapitre 1: Meurtre et trahison.

« - Je prend mon tour de garde… Va te coucher mon pote… » Le brave soldat humain, avait une vois étourdie de fatigue. Il semblait qu’il allait s’effondrer de tout son long sur le sol et roupillait comme un bébé. Les tours de gardes devenaient de plus en plus long, pensait-il, le baron voulait plus de gardes autour de lui mais des gardes, il y en avait peu, alors les tours devenaient long…
« Trop long » pensa le brave homme en baillant à s’en décrocher la mâchoire.

Alors qu’il s’étourdissait sur sa hallebarde, une ombre passa vivement devant lui, sans qu’il ne remarque rien. La,… Chose, qui venait de passer, elle n’avait pas fait plus de bruit qu’un bruissement d’étoffe. Elle progressait maintenant a vive allure dans les couloirs, se dissimulant dans les ombres du manoir du baron. A sa démarche sure et assurée on savait que cette créature silencieuse avait un but très précis. Mais on se doutait également, que si elle se cachait, c’est que ce n’était certainement pas pour faire des cadeaux aux petits enfants…

L’Ombre arriva finalement a sa destination sans n’avoir rencontré personne.
« Cet imbécile de baron aura mandé tous ses gardes prés de lui, et ceux qui ne le sont as dorment.» pensait-elle.
Vérifiant si la porte grinçait, la créature entra doucement dans une grande pièce. Elle fit tourner la porte sur ses gonds plusieurs fois pour bien enregistrer le bruit qu’elle émettait. Ensuite elle se mit a examiner la pièce. Elle furetait partout comme si l’obscurité, pourtant totale, ne la gênait pas outre mesure. Enfin, elle paru trouver ce qu’elle cherchait : une ouverture. Elle se situait dans le plafond. A une hauteur d’environ 5 ou 6 mètre.
Un sourire naquit sur les lèvres écarlates de l’Ombre.
« Mon très cher Baron, je vous tiens… »
Et il disparut dans les ténèbres de la nuit…

« - Mon déjeuner !! » hurla un homme ventripotent qui se tenait couché, pour ne pas dire affalé, dans un lit somptueux. Le destinataire de cette injonction n’était autre que le brave soldat de la veille au soir. Ce brave homme, envoya poliment une servante aller chercher le petit-déjeuner de sa Haute Magnificence le Seigneur Baron de Erandel, tel était le titre qu’il s’était auto octroyé un an plus tôt. Depuis, le hasard a fait que Erandel, autrefois fief puissant de l’Empire, n’était qu’une province pauvre en bord de mer…
Le déjeuner arriva finalement. Après l’avoir avalé, pour ne pas dire englouti, le Baron se fit habiller et alla dans la salle du trône. Il s’assit sur ce lui-ci dans un craquement de bois sinistre. Il attendit le silence de sa cour et dit :
« - Bon l’ordre du jour, s’il vous plaît greffier ?
- La famine décime la partie nord de la province et des villages on été rasés en bord de mer. On ne sait ni par qui ni comment, il ne reste qu’a peine les pierres des fondations et les cadavres qui jonchent les rues…
- Bon bon… Le Baron n’écoutait absolument pas, il avait ses yeux fixés sur une demoiselle au premier rang qui était particulièrement bien faite.
- Or donc, nous ferons un banquet ce soir ! Ameutez boucher, paysans et cuisinier et qu’ils nous préparent un festin digne de celui de l’Empereur ! Dit-il avant de rejoindre la demoiselle en question et de lui mettre une main aux fesses…

Un morceau de braise sembla s’allumer au fond de la salle. L’Ombre se tenait la et avait tout observé tout noté. Saleté de gros porc, enlève tes sales pattes de cette fille… pensa-t-il.
« Ce sera donc ce soir… »
Puis il disparut de nouveau avec un sourire machiavélique ornant son visage.

La fête battait son plein. Les cris de joie des soûls, les hurlements de rire ala vue du fou et de ses pitreries, les bruits ragoûtant des machoires humaine qui s’enfonce dans la viande… Tout cela mettait L’Ombre dans un état de haine presque irrépréssible.
« La mission d’abord, la mission d’abord »
Ses yeux avaient repéré la jeune femme courtisée par l’infâme Baron. Elle se tenait de dos tout près du coin ou l’Ombre s’était caché. Quand a sa cible, elle était en face d’elle.

L’Ombre allait maintenant révélé son plan élaboré la nuit dernière. Elle avait noté le déplacement des cuisinier et elle s’était placée de sorte a se trouver sur leur trajet. Au moment ou l’un des pages assurant le service passa avec un gros sanglier, l’Ombre remarqua les yeux du Baron qui s’illuminèrent. Elle n’eut qu’une seconde pour réagir : Elle sauta a plus de 3 mètres de haut, toujours rasant les murs et étant dissimulée par des ténèbres surnaturelles. Une fois au dessus du plat elle lâcha trois gouttes d’une mixture incolore qui se fondit instantanément avec la graisse du met. Elle atterri sans alerter personne, grâce à l’agitation ambiante. Maintenant la deuxième phase du plan. Elle n’a que très peu de temps avant que la Baron ne mange, elle tira rapidement une arbalète, chargea un carreau, et la posa a côté d’elle. Maintenant ses yeux se fixèrent sur l’enfant et la femme au côtés du baron : sa femme et son fils. L’Ombre ferma les yeux, murmura des paroles incompréhensibles et l’enfant se tordit instantanément de douleur, sa mère réagit instinctivement et se lava de sa chaise pour s’agenouiller prés de son rejeton dos a l’Ombre, lui présentant sa nuque, Elle se saisit de l’arbalète tira un carreau visant l’endroit sans os entre le cou et le crâne, où se logea le carreau.Elle s’envola par l’ouverture qu’elle avait repérée immédiatement après. On dit que la mère mourut sur son fils et que l’énorme Baron mourut sur eux.

Une fois sur le toit, l’Ombre enlevant son capuchon, découvrit des oreilles pointues, un visage pâle et longitudinal. Ses trait étaient tout simplement beaux. Sa chevelure noir de jais descendait jusqu'à ses joues et renforçait l’air redoutable que généraient ses yeux bleus. Ses doigts graciles et fins s’accordaient parfaitement avec son corps musclé mais parfaitement proportionné.
Un Elfe. Il se nommait Seivan : Le seul assassin Elfe a maîtriser la magie.
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MessageSujet: Re: [Background/Inofficiel] L'histoire de Seivan   [Background/Inofficiel]  L'histoire de Seivan EmptyLun 3 Déc 2007 - 7:17

Seivan avait rabattu son capuchon, dissimulant son visage. Il avait quitté l’enceinte du château sans trop de casse. Il avait bien du réduire au silence quelques gardes, rien de bien inquiétant
« La mission est terminée maintenant, j’ai le droit de m’amuser non ? » Pensait-il.
Il progressait maintenant le long d’une route de terre qui était sensée mener au bord de mer. Il devait retrouver son bateau qui le ramènerait à l’île qui servait de base aux Elfes Noirs dans l’invasion de cette partie de l’Empire.
« Une Arche Noire aurait été bienvenue, mais non évidemment. On ne refile pas une Arche a une cité qui doit faire ses preuves… »
Il atteint sa dernière étape avant l’embarquement. La ville de Raren. Il y entra par une porte dérobée à l’est. Ensuite, à la faveur de la nuit il circula dans les ruelles de la ville sans bruit. Soudainement il aperçut une torche qui semblait arriver d’une rue adjacente. Rapidement il bondit sur un toit plus bas que les autres. Et attendit de voir ce qui se présentait a lui…

« -Hey, les gars, on va devoir tourner combien de temps comme ça ? Hein ? Pourquoi une patrouille si longue ?
- Mais tu vas la fermer ! Ca fait déjà quatre fois que tu poses la question… »

Puis le bruit de la conversation s’atténua doucement. Seivan décida de rester sur les toits, c’est plus prudent se disait ils. Et puis ces humains ne savent déjà pas tirer de jour alors de nuit… Seivan faisait une fois de plus preuve de son arrogance, inhérente à sa Race du reste… Il poursuit donc son chemin sur les toits sautant avec grâce de l’un a l’autre. Sans plus de bruit qu’un oiseau…

Il rencontra deux autres patrouilles. « Mais qu’est ce qui se passe… » Une idée commençait a trotter dans l’esprit de l’Elfe. Si il y avait tant de patrouille, c’est que la nouvelle de l’assassinat était parvenue jusqu’ici. Mais ça lui paraissait impossible. Et puis pourquoi lors de ses autres étapes il n’y avait rien eu ? Il avait été trahi… C’est forcément ça… Alors qu’il cherchait le coupable d’un tel acte, il s’arrêta net.

« Je sais comment je vais démasquer ce vil traître… »

Il arriva bien vite à l’auberge où il était sensé dormir et comme il s’y attendait, il y avait des gardes a toutes les portes.

« Findarel » Il serra les poings. Des éclairs traversèrent ses yeux. Malheureusement c’était prévisible. Findarel était un esclave demi elfe et il n’avait jamais vraiment su où allait sa loyauté, vers les humain ou vers les Elfes. Il y avait dans cette auberge des objets qui ne pouvaient être abandonnés. Et le traître le savait.

Pour comprendre la situation, il faut savoir que dans la cité de Seivan, aucun Elfe ne peut être esclave. Les autres races on un classement de valeur qui indiquent leur valeur marchande et la position minimale sociale. Par exemple un Nain était très bien traité, souvent ils étaient maître de forge ou maître mineur. Alors que les orques n’étaient guère plus que des bœufs. Les Humains étaient au niveau des chiens dans la société de cette cité. Donc Findarel avait un statu spécial, il ne pouvait être considéré comme Elfe a par entière mais pas comme Humain non plus, alors il était chef domestique dans une grande demeure. Fort bien entretenu, logé et nourri.

Donc Findarel avait trahi les Elfes et pour ce crime, même un Elfe méritait la mort. Alors un demi… Il allait la recevoir dans d’atroces souffrances… Le pauvre, si il avait su ce qui l’attendait…

« Findarel connaît le plan, les emplacements des troupes, mais il ne connaît pas mes capacités, sinon il aurait placé des gardes aux fenêtres… » Pensa Seivan avec un sourire narquois. De son toit il avait compté les gardes, avec l’aide de la magie il en avait dénombré 15 dedans et 7 dehors.
« Et bien dis moi Findarel, me sous-estimerais tu ? » Au moment où cette pensée lui traversa l’esprit, celui-ci perçut la présence d’une créature supérieure aux autres. Bien qu’elle soit Humaine, cette personne paraissait forte et charismatique, son esprit était exempt de peur, contrairement aux autres. « Pas de magicien » Seivan eu un soupir de soulagement… Heureusement que son don pour la magie était tenu secret. Secret dont Malékith lui-même est le gardien. Sinon Findarel n’aurait pas omis ce détail…

Il échafauda donc un plan rapide. Il reposait sur trois éléments majeur, la surprise, la peur et la mort de ce capitaine.

Seivan s’agenouilla, plaça ses mains en cercle et marmonna une incantation. Moins de 10 minutes plus tard, une averse tombait. Grâce au bruit généré par la pluie sur les casques des soldats, Seivan n’eut même pas a faire attention au son de sa chute. Il atterrit gracile ment au sol, derrière l’auberge, immédiatement après il bondit jusqu'à une fenêtre. Usant a nouveau de la magie, il l’ouvrit sans bruit. Il s’introduit dans un couloir sombre. La vision nocturne Elfique est aussi bonne que leur vision diurne comme vous le savez. Il repéra deux gardes qui patrouillaient en venant vers lui. Pour l’instant il était invisible mais bientôt…
N’ayant qu’une seconde pour réagir, Seivan n’hésita pas, il s’élança ses deux dagues a la main entre les deux gardes, leur tranchant la gorge au passage. Il rattrapa les corps avant leur chute. Mais un des casques n’étai pas attaché. Le temps paru s’arrêter, Seivan tendit une jambe pour amortir la chute du casque.
« J’ai eu chaud… » La sueur se mélangeait maintenant aux gouttes de pluie sur le visage de l’Elfe. Il transporta les corps dans une chambre dont il tua l’occupant. Un vieil homme, cru voir Seivan… Aucune importance.
Il arriva au bout du couloir. Il sentait que la majorité des gardes étaient la.
« Si je les tue tous, le bruit va alerter le capitaine… Sauf si… » Seivan eut une idée. Il allait mettre en œuvre les enseignements de son maître mage. Il allait devoir lancer deux sorts quasiment simultanément. Un exercice difficile pour un mage de son niveau…

Il prépara les incantations dans sa tête. A la fin de la première, une ombre s’étendit dans la pièce, raflant la vie des hommes présents, et au moment où ils commençaient a tomber Seivan finit la deuxième et un éclair tonitruant couvrit le bruit des pièces d’armures sur le sol.

Seivan, hors d’haleine, s’assit contre un mur pour reprendre ses esprits. Il prit un pierre noire dans sa main et son énergie lui revint.

« Pratique ces cailloux » Pensa Seivan en souriant. Il s’avança en enjambant les cadavres nonchalamment. Il frappa a la porte de ce qui aurait du être sa chambre. On vint lui ouvrir. Ce n’était autre que Findarel lui-même. Seivan lui enfonça lentement sa dague dans la gorge, ni trop ni pas assez. Comme ça il mourrait lentement et douloureusement. Tel était le châtiment réservé aux traîtres.

Puis il toisa son adversaire final. Entièrment enchâssé dans son armure de fer. Il empoigna une épée plus lourde que l’Elfe et son armure réuni. Seivan attaque, et a son étonnement, il fut paré. Il sauta, enchaîna attaque et parade avec grâce. Cepandant l’Homme, bien que moins a l’aise faisait de même.

« Il y a forcément un point faible… Un point faible » Pensait Seivan.
Puis cela fit tilt dans son esprit retors. Il redoubla d’intensité, ses mouvements devenaient presque invisibles mais son adversaire continuait à parer. Il n’est pas humain, impossible se disait Seivan alors qu’il poussait son adversaire vers son piège, la fenêtre. Il y arriva enfn et Seivan lança son ultime ataque, il sauta à l’horizontale et poussa de ses deux pieds sur l’armure de son adversaire. Celui-ci bascula et au moment de tomber il cria.


Un cri de femme.

Son sang, ne fit qu’un tour. Ce cri il l’avait déjà entendu. Après un l’acte du baron sur une certaine demoiselle. Seivan se releva aussi vit qu’il puit et rattrapa la jeune demoiselle.

Son heaume avait lâché et sa chevelure blonde courait maintenant sur ses épaules, elle était inconsciente. Ce combat avait du lui demander toute son énergie, car il en était sur, elle était magicienne… Il ne l’avait pas perçue car elle avait protégé son esprit du sien…

Décidément, ces humaines réservent bien des surprises…
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MessageSujet: Re: [Background/Inofficiel] L'histoire de Seivan   [Background/Inofficiel]  L'histoire de Seivan EmptyLun 3 Déc 2007 - 7:18

Quand elle reprit connaissance, la jeune femme ne puit se lever tout de suite. Ses membres ne répondaient pas à son appel. Elle sentit ses doigts effleurer une texture douce et satinée. Elle déduisit qu’elle était allongée sur le lit de l’Elfe Noir. Puis elle se rendit compte qu’on lui avait enlevé son armure, elle ne sentait plus son poids sur son corps svelte. Dans le même temps elle se rendit compte qu’elle n’était pas attachée.
« Comment ? Il ne m’a ni tuée ni attachée ? Mais a quoi pense ce mec ? Il doit y avoir un plan, cet Elfe a maintes fois démontré son intelligence… »

Seivan sentit un esprit s’éveiller prés de lui, il empoigna vivement son poignard et le dissimula dans une de ses manches. Mais intérieurement, il savait qu’il ne s’en servirait pas… Tout comme les cordes sensées ligoter la jeune fille, elles pendaient piteusement sur un chaise plus loin. Une force intérieure le retenait. Sans qu’il su la définir. Pendant son inconscience, Seivan avait obéi à l’instinct, il n’avait pas réfléchi, il lui avait délicatement ôté son armure et s’était assis a son chevet, le dos contre l’armoire en face, où il se perdit dans ses pensées…
Quelque chose protégeait manifestement cette jeune Dame de ses attaques. Mais quoi… Quelle magie a ce pouvoir ? Pensait il. Perdu dans ses élucubrations, le temps ne se déroulait plus pour lui comme pur le commun des mortels. La pluie battait violemment les carreaux. Des éclairs zébraient le ciel d’encre. Le matin approchait, Seivan toujours dans son rêve éveillé ne le vit pas arriver. Il prit conscience de la gravité de la situation avec l’éveil des yeux verts de la fille. Le soleil commençait timidement a pointer et avec lui, son flot de gardes. La milice de la ville allait sûrement leur prêter main forte, Seivan était trop épuisé pour tuer plus d’une trentaine d’hommes. Il fallait filer…

« - Bonjour ma Dame »

La voix de Seivan résonna longuement dans la tête engourdie de la jeune fille.Comment un être si froid, si cruel, totalement dénué de pitié comme lui. Un être qui avait tué de sang-froid son informateur. Comment un tel abîme de haine et de noirceur pouvait il avoir une telle voix ? Si douce, si chaleureuse, si envoûtante ?

« -Vais-je mourir ? Demanda-t-elle. Si inquiétude il y avait, rien ne le laissait voir.
- Auriez vous peur ma Dame ?
- Non. Dit elle, catégorique. »
Seivan eut un petit rire narquois.
« - Je vois… Non je ne vous tuerai pas. Après un silence il ajouta : Parce que c’est exactement ce qu’ils attendent de moi.
- Pardon ? »

Seivan ne répondit pas. Il avait dissimulé son désarroi par cette parade mais il n’avait pas non plus menti. De ses réflexions nocturnes, il en avait déduit que d’après la façon qu’avait la jeune Dame de combattre, d’user de la magie, de parler, entre autres. Tout ça, c’était chez les Elfes qu’on l’apprenait et pas ailleurs. Surtout pas dans ces collèges de magie pitoyable où quelques minables laborantins font mumuse avec la magie… Donc, si elle avait reçu un enseignement de la part des Hauts Elfes, ce n’est pas par simple charité. Ses cousins d’Ulthuan avaient une idée en tête quand ils ont commencé l’entraînement de cette petite qui ne devait pas avoir plus de 25 ans… Cette guerrière accomplie avait un but, une cible précise. Le nm qui s’imposa à l’esprit de Seivan fut évidemment celui de son Roi. Mais comment ces insulaires pouvaient rêver attenter aux jours de son Roi ? Même Lamenoire et lui combinés ils n’y arriverai pas ! Et qui que se soit, pourquoi lui faire croiser ma route ? Car ce n’est pas un hasard, le mage de bord de l’épervier que nous n’avons pas pu détruire aura repéré ma présence, ils savent qui je suis… Serai-ce moi la cible ? Pensa Seivan ? Cela semble étrange… Je ne suis qu’un assassin…
Ressassant ces pensées, il se leva avec une aisance que même une humaine ne pourrait que rêver d’égaler. Il ouvrit l’armoire sur laquelle il s’était appuyé, en brisa d’un coup de pied le fond découvrant ainsi une cachette où était posé un baluchon de soie noire. Ravi d’avoir gardé le secret sur ce rangement il se saisit de son contenu et l’ouvrit sur la table.
La jeune fille, toujours inerte ne pouvait qu’écouter.
« - M’avez-vous entravée magiquement ?
- Je ne vous ai rien fait. J’ai du atteindre votre système nerveux pendant le combat, votre magie vous aura permit de vous maintenir debout le temps qu’il finisse… Admirable combat d’ailleurs, permettez moi de vous féliciter. Aucun représentant de votre race ne mavait tenu tête plus de 45 sec auparavant, mais la, vous avez explosé les records… Dit-il avec un petit rire…
-Et bien… Merci…et ne sachant que dire elle rajouta finalement … Sire. »
Seivan éclata d’un rire franc.
-Non ma Dame, je ne suis qu’un vulgaire assassin, qu’un pion sur l’échiquier. Comme vous.
-Comme moi ? »
Seivan ne répondit pas. Elle le découvrira vite si elle n’est pas au courant…

Seivan se concentra a nouveau sur le contenu du baluchon : Un cristal noir au reflet bleu, son épée, une épée courbe Elfe noire a long manche, des aiguilles, des parchemins divers et une médaille que Seivan passa immédiatement a son cou.
Il plaça l’épée dans son dos, mis les aiguilles dans une poche à sa ceinture, roula les parchemins dans un cylindre qu’il mis en bandouillère et il se saisit de la pierre. Les reflets bleus disparurent et Seivan sentit son énergie remonter.

« Il faudra que je la remplisse en arrivant au bateau »

Son pouvoir restauré, il prit aussi délicatement qu’il est possible la jeune fille dans ses bras, lança un sort et un pégase d’ombre apparut. Il sauta dessus et ils décollèrent vers la mer.

La jeune fille sentait la force délicate de ses doigts. Comment aurait elle pu deviner tant de douceur chez un assassin méthodique tel que lui ? Elle était méfiante cependant, cela pouvait être une ruse… mais dès que cette pensée lui venait a l’esprit, cet Elfe mystérieux la faisait boire, la protégeait de la pluie, remontait sa cape sur elle…
« Pourquoi ai-je le droit a tant d’égard alors que vous avez tué mes hommes sans autre formes de procès ?
Aucune réponse ne vint, l’Elfe ne broncha pas.
Puis-je avoir votre nom au moins ? Le mien est Kyrianen Hyuann, fille adoptive d’un des seigneurs de Lothern. »
Une once de fierté perçait dans sa voix.


« Mon prénom est Seivan. Mon nom quant a lui, il na aucune importance. »
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MessageSujet: Re: [Background/Inofficiel] L'histoire de Seivan   [Background/Inofficiel]  L'histoire de Seivan EmptyLun 3 Déc 2007 - 7:19

Chapitre 2 : La mer, le sang, le frère
Ils volèrent ainsi durant deux heures. Kyrianen sentait parfaitement le pouvoir magique de Seivan s’étioler avec le maintient du sort. Elle se prit a penser lui proposer de puiser dans ses propres réserves.
« Kyrianen a quoi tu joues ? » se disait-elle à elle-même.
Seivan, lui, pensait à autre chose, comme la nourriture, ou encore penser à éviter les agglomérations.
« Bien prosaïque tout ça, alors je tiens une belle humaine dans mes bras… »

La matinée humide après la pluie de la veille avançait. Seivan dirigea sa monture magique vers un bois non loin de la côte. La jeune Dame n’avait pas pu voir le navire qui approchait. Seivan lui en discernait déjà les contours.
Au moment d’amorçer la descente il sentit Kyrianen remuer.
« -Pouvez vous vous asseoir ?
- Oui, je crois, répondit-elle d’une voix qui se voulait froide.
- Bien. Auriez-vous l’amabilité de passer derrière moi ? J’aurais besoin de voir… demanda poliment Seivan, comme si il s’était à une Elfe.
- Je vais essayer. »
Elle s’assit, ses cheveux volaient au gré du vent et ils caressèrent le visage d’albâtre de Seivan quand elle passa adroitement derrière lui. Seivan eut une sensation inconnue et étrange quand elle passa ses bras autour de lui pour ne pas être désarçonnée. Jamais en 100 ans de vie il n’avait éprouvé ça… Il ne savait pas ce que c’était, le pauvre…
Ils atterrirent donc à la lisière d’un sous-bois. Seivan sauta a bas de son coursier qui piaffait quand il mit fin au sort avant de s’effondrer contre un arbre, extenué. Le maintient de ce pégase l’avait obligé à reculer les limites de son endurance.
« Ainsi affaibli je suis à sa merci. Selon son point de vue, elle ne me connaît pas. Selon comment elle va agir je vais pouvoir mesurer si elle est digne de confiance. Mais qu’est-ce que je fais ? Pourquoi je n’arrive pas à la voir comme un simple humaine ? Pourquoi les autres de sa race ne sont guère plus qu’un animal de compagnie a mes yeux et elle non ? Khaine si tu as la réponse, dis la moi ! »
Si Seivan s’attendait à une attaque, il n’en fut rien. Kyrianen attendit patiemment que l’Elfe se relève en l’observant. Seivan sentit son regard posé sur lui. Peut être appliquait-elle les leçons de patience des Hauts Elfes ? Mais un humain n’a que très peu de patience. Elle agira sous peu… Seivan eut un nœud à l’estomac à cette idée…
Il chassa un lapin, il le cloua à un arbre avec un de ses aiguilles. Seivan sentit l’esprit de l’animal s’éteindre doucement dans sa tête. Il prit aussi quelques baies qu’il trouva prés du terrier de sa proie.
La nuit arriva sans se presser, les ombres grandissaient, le soleil devint rouge. Puis les ténèbres prirent lentement le dessus sur la lumière. Seivan se sentait plus à l’aise dans l’obscurité. Il aimait la nuit, les douceurs de sa brise, la lumière douce de la Lune. Il aimait marcher en silence dans les ténèbres. Rien ne pouvait entraver sa liberté le soir venu. Il devenait invisible. Il aimait la nuit car elle lui conférait son pouvoir. Les ombres l’aidaient dans ses diverses quêtes. Il aimait la nuit…
Ils mangèrent. Kyrianen avait allumé un feu par magie. Elle et lui mangèrent avec appétit. L’Elfe ne leva pas les yeux sur elle, de peur d’y trouver un sentiment encore nouveau. On a tous peur de ce que l’on ne connaît pas, un assassin aussi jeune que Seivan ne faisait pas exception… Cependant, l’humaine elle, le regardait avidement. Cherchait-elle ses faiblesses ? Le trouvait-elle à son goût ? Seivan était un membre de la Race Elfique, il était normal qu’une humaine le trouve charmant… Le silence latent était pesant. Kyrianen le rompit :
« - Vous ne mangez pas de viande ?
- Non, répondit simplement Seivan
- Pourquoi donc ? dit elle avec un air étonné
- On m’en a dissuadé, répondit il sans la regarder
- A l’antre de votre abominable Khaine ? Cracha-t-elle. Ne vous ont-ils pas appris le goût du sang et de la tuerie ?
- En effet. »

Kyrianen fut déstabilisée par cette réponse si calme. Ne sachant que répliquer elle resta un instant bouche bée. Puis elle se renfrogna et ne dit plus rien.

Seivan attendit la nuit noire. Quand elle arriva enfin, il se leva et dit à Kyrianen à voix basse :
« - Je vais vous expliquer ce qui va se passer et comment réagir. Obéissez moi sans hésitation et sans questions sinon vous mourrez. »
Il avait dit ceci comme vous demanderiez du pain à votre boulanger. Comme si la mort n’avait aucune importance, aucun impact sur lui. Peut être est-ce compréhensible ? Seivan a toujours vécu prés de la mort. Il avait tué un nombre incalculable de fois. Il avait brisé encore plus de vie par ses meurtres…
Kyrianen évalua l’expression de son visage.
« Il m’a protégée jusqu'à maintenant… Pourquoi je ne sais pas mais il l’a fait. Quelque chose me dit que sans lui, je mourrai dans l’heure… Quelle est cette sensation ? Avec lui, je me sen en sécurité… Plutôt étrange, il n’en reste pas moins mon geôlier… »
Alors, Kyrianen aquieça.

« - Bien. Nous allons rejoindre la plage pour prendre un bateau. Ce bateau sera gardé bien sur. Je dois parler au garde au sol et signifier ma présence aux gardes a bord. Ensuite je reviendrai vous chercher. Pour eux vous serez une esclave plus que privilégiée.
- Privilégiée ?
- Vous n’êtes pas morte… Pour eux c’est être privilégiée que d’être à la fois humaine et en vie… » Répondit Seivan avec un sourire…

Seivan la fixait de ses yeux bleus en amande, regard déroutant s’il en est. Jamais Kyrianen n’avait vu pareil regard… Si empli de tristesse, de résignation, de haine… Mais ce regard-ci, c’était de l’affection et de la tendresse qu’il contenait… Elle n’en revenait pas… Elle lui rendit son sourire…

« -Suivez moi sans le moindre bruit, vous connaissez l’ouïe Elfique… »

Ils commencèrent leur progression à travers la forêt. De temps a autre, Seivan indiquait a sa compagne un obstacle que ses yeux humain n’auraient su voir.
Subitement Seivan s’arrêta, Kyrianen lui rentra dedans et il se retourna l’air furieux qu’elle ait fait du bruit. Depuis la première fois depuis leur combat, Kyrianen craignit pour sa vie… Seivan se calma et l’incita au silence. Seivan s’accroupit et fit lui fit signe de faire de même.
D’une voix quasi-inaudible Seivan murmura :
« -Restez ici. Ne bougez sous aucun prétexte. »
Puis Kyrianen le perdit de vue, elle étendit les bras pour le chercher devant elle mais elle ne sentit rien.
Seivan avait bondit, il atterrit aussi silencieusement que le mouchoir des tournois derrière l’Elfe a terre. Il portait un bouclier noir orné de rouge, des lames garnissait ses protèges poignets et son arme était une lance à longue lame effilée. Il lui passa le couteau sous la gorge et immobilisa son bras droit.
« - Un seul bruit sonnera le glas de ta vie, récita Seivan
- Maître Seivan. Nous vous attendions.
- Va dire au capitaine de commencer à lever l’ancre »

Soudain Seivan sentit une lame sur sa nuque.
« - Je vous tiens « maître » » dit une voix ironique
« Merde… pensa Seivan. Lamécralate. Vais-je avoir assez d’énergie… »
Seivan ferma les yeux est accumula le pouvoir, puis il paniqua, il ne percevait plus le souffle de Kyrianen
« - Tu es sur la voix du déclin Seivan, tu as même laissé une espionne humaine te suivre… Moi je gagne en puissance et je suis maintenant meilleur assassin que toi. »
Seivan lança sont sort en silence. Il allait ralentir la perception du monde de son adversaire. Une fois la magie active Seivan se retourna brusquement en écartant la lame de son ennemi avec la garde de son poignard pour étouffer le bruit : les arbalétriers avait ordre de tirer sur tout ce qui paraissait suspect.
Je crois qu’a ce moment, Lamécarlate eu la peur de sa vie. Le visage de Seivan était embrumé d’une telle expression de haine, il n’avait jamais aimé Seivan au Temple mais là il en avait peur, il sentait qu’il allait mourir. La magie se dissipa par le manque d’énergie de Seivan.

Seivan lui décocha un violent coup de poing en pleine figure. Il se releva péniblement. Il attaqua rapidement ayant retrouvé ses réflexes, Seivan para et esquiva sans efforts, sa vitalité retrouvée. Il était animé par la haine. Il envoya un coup magistral dans le bas ventre de son adversaire qu’il enchaîna avec un cou de genou dans le menton. Lamécarlate partit en un vol plané quand Seivan sauta et l’interrompit d’un coup de pied magistral de haut en bas, utilisant l’énergie de sa chute pour amplifier sa force. L’assassin retomba durement sur le sol sans bruit. Seivan s’accroupit prés de la tête de son adversaire vaincu, qui se tordait de douleur.

« - Si tu as tué cette humaine, tu comprendras pourquoi on me nomme « maître assassin » »
Et il lui cracha au visage.

« Je ne suis pas mort… Je ne suis pas mort… » Pensait Lamécarlate en sang au sol.

Il alla chercher le corps de Kyrianen. Elle était en vie. Cette humaine a des ressources inconnues pensa Seivan alors qu’il la portait jusqu’au bateau.
Les Elfes avec leurs arbalètes lui jetèrent un regard interloqué quand il atterrit sur le pont après un saut de plus de 4 mètres de haut.

D’un regard noir, Seivan leur intima le silence.

« - Envoyez deux Elfes chercher le corps de Lamécarlate. »

Deux soldats partirent dans l’instant en courant. Seivan gagna la cabine du capitaine dont il ouvrit la porte à la volée.

« -Dehors, dit Seivan
- Pardon ? Qu… Il s’interrompit à la vue du regard de Seivan. »

Il empaqueta quelques affaires et partit.
Seivan étendit doucement le corps svelte de Kyrianen sur le lit moelleux du capitaine. La cabine était exigue. Pour tout ameublement il y avait une commode pleine d’affaires personnelles, que Seivan fourra dans un sac et lança dehors, une armoire vide et une table sur laquelle reposaient une carte marine et un compas.

Il couvrit la jeune fille.
« Kahine que ce passe-t-il ? Suis-je ne train de m’attacher à cette humaine ? »
Seivan ne le savait pas. Mais la sensation qu’il éprouvait en la regardant dormir n’était pas désagréable… Il sortit sans bruit et rejoignit les dortoirs où il espérait trouver le capitaine.
Il le trouva attablé avec trois de ses hommes et ils parlaient a voix basse. Ils se turent à l’entrée de l’assassin.

« -Capitaine, dit Seivan doucement, veuillez pardonner ma brusquerie de tout à l’heure. Prenez possession de l’autre cabine si vous voulez.
- Mais… c’est la vôtre maître Seivan …
- Je ne dormirai pas du voyage.
-Bien merci.
Puis s’adressant aux trois matelots Seivan dit :
-Auriez vous l’obligeance de sortir. Je dois parler à votre capitaine. »

Ils obéirent en lançant des regards inquiets à leur chef. Seivan se retourna et confina la porte magiquement contre les oreilles (pointues) indiscrètes. Il refit face à son interlocuteur avec un sourire radieux.

« -Deketh ! » Et ils s’étreignirent comme deux vieux amis. Et pour cause, Deketh était le meilleur ami de Seivan. Il était plus grand que Seivan et avait des cheveux blancs. Ses yeux étaient blancs eux aussi, avec l’éclat d’un diamant. Cet Elfe était vieux… Plus de 1000 ans, selon Seivan bien qu’il n’en soit pas sur…

« -Maintenant raconte. Dit-il en s’asseyant. Qui est cet humaine ? Si tu ne l’as pas tuée c’est qu’elle est spéciale, et si tu m’as évincé de ma cabine pour elle c’est que tu es amoureux.
- Je suis quoi ?
-Tu ne connais pas ce mot ? Demanda Deketh interloqué. Pourtant avec ton joli minois t’as bien fais craquer une ou deux furies au temple ? Se moqua-t-il.
- Ben ouais qu’est-ce que tu crois ? Répondit Seivan d’un air espiègle.
- Ah bon ? Dit le vieil Elfe, visiblement intéressé…
- Ne t’écarte pas du sujet. Tu as dit que j’étais quoi ?
- A-mou-reux.
- Cela veut dire quoi ?
- Ils ne t’apprennent pas ça au Temple ? demanda Deketh, narquois.
- Tu m’expliques ou je t’étrangle ?
- Tu tiens a elle, tu la veux pour toi prés de toi, tu veux la protéger,… En voyant le visage inexpressif de Seivan il ajouta finalement.
- Tu ne veux pas qu’elle meure.
- Ah… c’est donc ça. Mais toi non plus je ne veux pas que tu meures !
- Oui mais de ma mort tu t’en remettrai, pas de la sienne.
A cet instant Seivan commença franchement à paniquer.
- Mais c’est une humaine ! Elle mourra sous peu ! 40 ans si elle a de la chance !
- Hé hé, la est le problème mon ami… »
Seivan réfléchissait à toute vitesse : « Il a raison… »
« - Que vas-tu faire Seivan, demanda son ami inquiet en voyant l’expression de son visage
- Je vais la faire devenir Elfe »
Puis il partit.

« Tu as 40 ans mon ami… » Pensa Deketh

« Seivan, dans quel pétrin t’es tu fourré ? »
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