Voici un petit récit pour décrire la mentalité des nains du chaos
-« C’est si lourd. Je n’en peux plus. Je ne survirai pas cette fois … »
« . Courage nous ne somme plus très loin de la forge. Ces satanés nains du chaos sont de véritables démons »
- « oui mais il faut encore traverser le pont »
Au centre de la mime de Arz Zaghol, deux reiklandais , écrasé par lourdes chaînes de plomb ,tentaient ,dans la fournaise de faire progresser un énorme wagonnet rempli à raz bord de charbon. Hésitants, ils s’engagèrent d’un pas peu assuré sur la passerelle de bois qui enjambait une rivière de lave en fusion, passage obligé sur le chemin qui les conduisait vers la forge. De toute façon ils n’avaient guère le choix .Le moindre relâchement, la moindre hésitation étant immédiatement sanctionné par de sadiques hobgobelins qui s’acharnait sur le fautif à coup de fouet. Enfin pour les plus chanceux. Les autres se voyait emportés par un groupe de hobgobelin. On ne sait pas où ils conduisait le malheureux, mais une chose est certaine c’est qu’on ne le revoyait plus jamais et que son sort n’était pas enviable. On murmurait parfois que le sort qui l’attendait était pire que la mort. Etait il immolé le métal en fusion en hommage à leur divinité impie ? Nul ne le sait, mais quoi qu’il arrive, mieux valait encore rester esclave, même dans des conditions aussi inhumaines
« Un jour on partira d’ici et on retrouvera notre liberté ».
La bière de Niederwald…l’amour des être chers, les feuilles mortes de l’automne, les fleurs du printemps. Tout cela n’était que plus que de lointains souvenirs. Ici il n’y avait plus que de la souffrance, des ténèbres et des flammes .C’était l’enfer sur terre.
-Crrrr…..
-????
-HAAAAaaaaaaa
-Plouf
« HAhahahaha. C’est trop drôle. Ils vont me faire mourir de rire.
Arhok Cœur de pierre essayait tant bien que mal de reprendre son souffle entre deux crises
« Ces esclaves sont vraiment trop stupides. Et pourtant ce n’était pas la première fois que l’on sabotait le pont. Mais, à chaque fois, le succès était garantit. Ces minables ne se posaient jamais de question. Ils ne vérifiaient ni la sécurité de leur matériel ni de leur environnement. Ils n’avaient pas eut un seul regard sur l’état des cordes qui maintenait le pont au dessus de la lave. Ces humains n’avait vraiment aucun respect pour le travail bien fait A aucun moment, ils ne s’étaient demandé pourquoi les hobgobelins, d’ordinaire impitoyable à la moindre incartade, s’étaient prudemment écarté d’eux et n’avait pas réagit alors même que le rythme avait faiblit et qu’ils ne faisait plus que bavasser au lieu de travailler ? »
. Arhok avait bien entendu piégé lui-même le pont .Ce petit jeu marchait toujours aussi bien à chaque fois. Arhok adorait piéger les esclaves et ceci d’autant plus que cela marchait à tous les coups… C’était si amusant, pourquoi s’en priver ? Les esclaves ne sont pas ce qu’il manque alors…
Essayant de contenir tant bien que mal son fou rire, il fit de grands efforts pour tenter de paraître furieux et ainsi avoir le plaisir d’exécuter publiquement quelques innocents (et des discerner l’effroi dans le regard des autres).
Le plus important n'est pas de savoir si vous êtes coupable ou non mais de savoir si j'ai envie ou non de vous executer
Vieux dicton nain du chaos attribué au nain noir
