Mes poingt son mes armes, ses paroles du poison.
Je suis Drakenbluff, écaflip, avanturier, parfois impolie, toujours insociable.
J’ai participe a de nombreuses quétes. Bref, l’avanture c’est ma passion.Je haïssais l’humanité, sa perfidie, son talent pour détruire. On me reprochais aussi un certain racisme envers les crâ...
Mais tout cela était sans importance.
J’ai décidé de laisser une trace de moi, même si je sais qu’il n’y en a nul besoin, mais ça aura au moins pour but de rassurer ma mère qui s’inquiète pour moi à chaque fois que je pars à l’avanture.Ma vie n’étais pourtant pas assez trépidante à mon goût...
J’observais un groupe de dragoeufs, juchée sur un rocher au bord de l’eau.
J’aurais tellement voulu être comme eux. Insouciants, ne prêtant attention qu’aux choses essentielles de la vie, se nourrir, se protéger, procréer...
Il me semblais pourtant avoir eu une enfance heureuse, une éducation juste et aucune épreuve assez psychologiquement traumatisante pour m’avoir ainsi éloigné de mes semblables.
J’avais juste changé. Il y a eu un moment dans ma vie ou mon cerveau s’est ``allumé``, là les choses on prit tout leurs sens et je me suis consacrée à ce que j’aimais tout en me mettant en place des principes en béton.
Les dragoeufs s’éloignent...
Je profitais de l’espace qu’ils me laissaient pour partir de la presque’île. Le chevalier alexoff me sortit encore son sermon sur la dangerosité des bestioles, je souriais en secouant la tête. Cet homme devait être fou à force de rester à ce poste, la preuve : il mettait en garde même les personnes qui sortaient de la zone dangereuse.
Des gens partout, des gens puants et braillards faisaient leurs shows sur la place du zaap à Astrub. Ça sentais la vinasse des alcooliques, le sang des soldats, la sueur des marchand. Je bousculais plusieurs personnes sansvergognes, laissant tomber politesse et délicatesse avec ces animaux. Comme ils me révulsaient...
Rapidement je sortais de la foule pour rejoindre le nord-ouest de cette ville surpeuplée, où seuls les relents d’égouts me donnaient plus envie de vomir.
Bien que totalement dépassé par sa propre population j’aimais cette petite citée où je pouvais exercer l’art de mes insultes à la taverne.
-L’air est déjà plus respirable ici...
Un groupe de piou vola au dessus de moi en piallant. Je souriais de bon coeur : enfin j’était arrivé chez moi.
Je profitais d’un statut assez élevé dans mon domaine, mais ma réputation de dure à cuire, précédait souvent celle de l’érudite. Voilà donc déjà deux mois que je n’avais pas remis les pieds chez moi.
Tout en soupirant d’allégresse j’ouvrit ma lourde porte en bois . Bref, à présent il me restait la partie la plus chiante de mon travail à terminée : la mise sur pied d’un dossier avec tout les membres de l’expedition, les textes et les observations dans un ordre bien précis ainsi qu’une carte precise avec l’itineraire a respecter. Cela pouvait me prendre encore un mois avant que le travail ne soit terminé, mais je me faisais un point d’honneur à bien faire mon boulot. De plus, trois semaines de repos, à terminer mes soirées à la taverne ne seraient pas de refus après avoir passé des nuits entières figée dans mon sac de couchage pour éviter toute attaque ennemie.
Comme pour me décourager un peu j’ouvris la valisette en cuir qui gardait à l’abri de l’humidité toutes mes notes.
Je soupirais de désespoir lorsque je vis la bonne centaine de feuilles brouillonnes, sur lesquelles je n’arrivaient même pas à me relire.
-%&@!!... Je verrais ça demain...
Balançant la liasse de papier sur mon bureau je laissais aller mes pensés tout en me décapsulant une bouteille de bière brune.
La nuit se mit à tomber doucement, déposant son voile d’ombre sur le mobilier. Les corbacs se perchèrent sur les ambres voisins .
Les yeux à demi fermé dans cette obscurité je détaillais la pièce tout en ne pensant à rien de spécial, mis à part porterle goulot de ma bouteille à ma bouche. L’alcool rendait tout à la fois plus claire et plus trouble. J’eu soudain un certain sentiment de fierté en observant l’unique pièce de la maison.
Il était rare de voir des bâtisses ou toutes les pièces étaient assemblées de la sorte. La cuisine, le salon, et ma chambre, formaient un tout dont le mélange ne choquait pas. Seul les toilettes étaient dissimulées derrière un paravent en bambou. Ma mère m’avait obligé à le mettre ``au cas ou tu aurais des visiteurs`` m’avait-elle dit. Mais personne ne venait jamais, à par elle.
N’ayant pas la force de faire les deux pas nécessaires pour m’affaler dans le hamac qui me servait de lit je m’assoupis sur le divan, l’esprit embrumé par le doux nectar qu’était l’alcool...
Rouge, du rouge partout. Rouge-orange, rouge-rose, rouge-jaune. Je ne compris pas, pas tout de suite. La lumière vive m’avait sortit d’un rêve, puis l’odeur piquante de fumée m’avait totalement réveillée. Mes murs étant déjà peints en rouge j’avais d’abord crue au lever du jour, mais il était bien trop tôt, et cette odeur...
-La maison brûle !?
J’enfillais rapidement ma veste et je me précipitais dehors.
Le ciel était en feu, des gens criaient, couraient dans tout les sens.
-%?!&\'-#*...
Le mot était faible. Une maison proche de la mienne avait pris feu. Le toit de chaume envoyait volé des braises légères dans le ciel. Ma première pensé alla au crétin de service qui avait oublié d’éteindre sa bougie, puis l’une de mes phrases préférées fit son entré dans mon esprit : Un c** de moins sur cette terre.
On mouillait déjà les toits des maisons alentours qui n’étaient pas fait de tuiles ou d’ardoises. Il fallait faire vite, sinon la ville entière allait y passer. Voila pourquoi mettre le feu était passible de la peine de mort ou de la prison à vie...
-Aaaah fait chier, je vais être obligé de faire une bonne action...
Je m’approchais du brasier ou des dizaines de personnes se passaient des seaux d’eau et les balançaient dans les flammes.
-Il faut viser la base des flammes bande de crétins, sinon vous n’y arriverez jamais ! criais-je.
Un iop ouvrit la bouche pour me répondre sur le même ton. Mon regard assassin suffit à lui fermer le trou béant qui lui servait d’orifice buccale...
Je m’installais donc à coté d’un pandawa, qui distribuait des vagues à lames à répétions, pour lancer Félintion. L’eau sortant du sol était bien plus efficace que 20 seaux balancés dessus sans considération. Bientôt le brasier se calma, le bruit assourdissant des flammes dévorant le bois et l’air ambiant s’apaisa et une silhouette trapu apparut dans la lumière. L’homme barbu portait dans ses bras l’unique survivant inconscient.
Une fois le feu éteint les curieux et autres badauds se réunirent autour de lui et se mirent à le plaindre.
-Le pauvre, pleurait une femme en faisant coulé de l’eau sur son visage, il n’a plus de famille.
Je riais devant cette démonstration hypocrite de pitié, plusieurs personnes se retournèrent vers moi.
-Arrêter donc de faire les faux-culs. Tout le monde le plaint mais personne n’aura les couilles de le prendre avec lui je suppose...
Personne ne répondit.
-Qu’est ce que je disais...
-Et bien prends le toi, Ecaflip !
-L’Ecaflip te ferait mangé une volé pour me parler sur ce ton si il n’avait pas déjà assez sommeil pour s’en foutre.
Tout mon voisinage me connaissait et me craignait assez pour ne pas répliquer.
-Il va falloir que quelqu’un se dévoue, fis-je après un moment lourd de silence.
A cet instant le gamin repris conscience. Il jeta un regard effaré sur tout ce qui l’entourait, puis, avec de l’aide, il se leva et vit sa maison réduite en cendre, sa famille avec.
Des larmes coulèrent en silence sur ses joues sales.
Autour de lui se déroulait un vif débat qui déciderait qui serait son tuteur auquel il ne faisait pas attention, continuant de fixer son ancienne demeure.
Je l’observais en silence, les mains dans les poches. Il fallait avoir une chance de cocu pour sortir vivant d’une telle épreuve...
-C’est décidé ! s’écria soudain le barbu. Ecaflip, cette enfant n’ayant aucune autre famille que ses parents décédés tu seras son nouveau tuteur !
Mes oreilles pointus se dressèrent alors que mes yeux détaillaient l’assemblé afin d’être sûre que j’étais le seul Ecaflip présent. J’étais tout simplement étonné.
-C’est hors de question, répondis-je calmement, vous savez comment je suis. Je risque plus de le tuer que de l’élever, et le terme ``élever`` est un bien grand mot quand on parle d’un humain...
-Tu es son voisin le plus proche. La loi dit que c’est à toi de le prendre sous ton aile.
-La loi est débile, l’a toujours été et le sera toujours. Dites plutôt que vous n’avez pas les boules de le faire vous-même...
Pendant ces cinq petites minutes de discussion la foule avait réduite de moitié, certains essayaient de fuir en se cachant le visage, comme coupable.
Quel courage !
Il ne resta bientôt plus que moi et le gamin devant la tas de cendres encore fumantes.
Soupir...
Pleurant toujours en silence, le gamin me vit à peine le prendre par le bras et le mener chez moi. Il sembla réaliser les choses qu’une fois la porte de ma maison fermé.
J’ouvri une trappe dans le plafond, duquel descendit une échelle.
-Y doit y avoir un matelas poussiéreux là-haut, ça fera l’affaire pour cette nuit. Dors si t’en ai capable. Pour l’instant la règle ultime est le silence absolu, on verra le reste demain.
Sur ces mots je sautai dans le hamac dans lequel je dormais, m’installa sous la grosse couette, appuya mon pied sur le mur et relâcha afin de me bercer doucement, puis m’endormit en quelques secondes.
Seul... Pour la première et unique fois.
Triste... Comme jamais.
Vide... Tout était vide, si vide de sens.
Comment ? Comment une tel chose a pu arriver ? Cela n’arrive qu’aux autres, dans les histoires, ou aux nouvelles.
Pourquoi moi ? Qu’ai je fais !?
Le jour se levait déjà lorsque la fatigue commençait à l’emporter sur la tristesse. Le matelas sale sur lequel je m’étais allongé était à présent trempé de larmes. Les dieux m’avaient laissé seul, ils m’avaient pris mes parents.
Je n’osais même pas bougé dans cette maison qui m’était inconnue, encore moins faire du bruit. J’espérais juste que les cris de désespoir que j’avais étouffé avec mon oreiller n’avaient pas réveiller l’Ecaflip
L’Ecaflip...
Les événements de la nuit me revinrent en flashs.
Du bruit en bas... Des pas lourds, m’indiquaient que je n’étais plus le seul à être debout.
-DESCENDS !
L’ordre brutal et sans émotion m’avait fait sursauté.
Rapidement j’essuyais mes joues et mouchait mon nez dans ma manche avant de descendre prudemment l‘échelle en bois. Mes yeux resteraient rouges... Tant pis.
Il m’attendait derrière le comptoir de sa cuisine, le regard sévère, comme si j’étais responsable de tout cela... Cette simple pensée me fit pleurer une fois plus.
-A moins de souffrir le martyre on ne pleure pas dans cette maison...
Immobile entre ce qui semblait être le salon et la cuisine, j’attendais qu’il dise quelque chose. Une parole réconfortante, un encouragement peut-être... Mais il n’en fut rien. Au lieu de cela il m’emmena en silence dehors, ferma la porte de sa maison et se dirigea vers l’est de la ville.
La vue du tas de cendre qui était auparavant ma maison me fit monter un flot de bile dans la gorge, que je ravalais vite pour qu’il ne me voit pas.
L’Ecaflip ne me regardait pas et marchait d’un pas vif, il semblait irritée que je le suive ainsi, mais j’étais sûr que si je m’arrêtais il me rappellerait à l’ordre.
Arriver à la banque il bifurqua sèchement dans un quartier de petites maisons. Il frappa à la porte de l’une d’elle. En attendant que quelqu’un lui réponde j’observais la bâtisse afin de me changer les idées pour ne pas pleurer une fois de plus. Les murs, la porte et le toit étaient d’une couleur rosé qui faisait ressemblé le tout à une maison de poupées. Même les fleurs dans la jardinières étaient roses. Cette maison aurait beaucoup plu à ma mère si elle avait été un peu plus grande... Et si ma mère aurait été encore vivante...
La porte s’ouvrit sur une femme de petite taille aux cheveux poivres et sels et au grand sourire maternel.
-Mon chéri ! C’est rare que tu me rendes visite sans que je te le demande !
-’Lu m’man.
Sa mère ! Cet homme sadique et méchant avait une mère!? Mon esprit d’enfant était aussi étonné que choqué, moi qui pensais que ce monstre ne pouvait être que la fille de Rushu...
-Entre voyons ! Et... Oh ! Mais qui est ce charmant jeune homme ?
-C’est la raison pour laquelle je viens, soupira sa fille en s’affalant dans un fauteuil.
Je faillis dire mon prénom à la-gentille-dame, mais le regard accusateur de mon nouveau tuteur me paralysait trop pour que je puisse dire quoi que ce soit.
-Monte mon bonhomme, il doit y avoir encore des vieux jouets là-haut. Il faut que je parle à Draken. Et quand tu redescendras tu pourras manger les gâteaux que je viens de faire d’accord ?
J’hochais la tête, poliment et obéissait...
Draken... En plus d’être humain et non démoniaque il avait un prénom... Les adultes étaient vraiment des gens bizarres.
-Qu’as tu encore fait ? m’accusait ma mère en croisant les bras.
-Rien ! La maison à coté de la mienne a pris feu, ses parents sont morts et il y a cette loi débile qui dit qu’au cas ou la victime est mineur et n’a plus aucune famille elle doit être confié à son voisin le plus proche ! Quelle %?!&\'-#* ! Je voulais pas de ce gamin !
-Évidemment... Si je t’écoutais je devrais me résigner à ne pas avoir de petits-enfants.
-Et c’est ce qui se passera.
-Nous verrons... En attendant il à l’air sage et...
-Hors de question, je ne le garderais pas ! Il est venu, il a vu et y va partir. Dès cet après-midi je le met dans le premier chariot pour l’orphelinat de Bonta.
Les nerfs à fleur de peau je sortais précipitamment de ma poche mon paquet de cigarettes et m’en allumait une. La fumée était mauvaise pour mes familiers, il était donc rare que je fasse cela.
-Je suis méchant, insociable et même le pire des marins ne pourraient m’égaler en nombres d‘insultes dans une phrase.
-Mais tu as de l’éducation, tu es intelligent, et tu as besoin d’un... Tableau blanc.
-Je n’ai besoin de personne...
-Tu l’élèveras très bien et je t’ordonnes de le garder.
-Je suis adulte maman, le temps ou tu me donnais des ordres est depuis longtemps révolu...
-Je reste ta mère et une mère ça se respecte ! Si tu ne m’obéis pas je peux te garantir que tout les petits services que je te donne n’aurons plus lieu d’être.
-T’oserais pas...
-Je vais me gêner ! Je ne m’occuperais plus de ta maison lors de tes voyages, je ne te cuisinerais plus rien pour les jours ou tu a la flème de le faire toi-même et hors de question de m’adresser encore une fois la parole si j’apprends que tu as abandonné ce pauvre enfant.
-Prends-le toi !
-NON, pour une fois assume et fais moi le plaisir de faire comme si j’avais un petit-fils !
Sur ces mots elle se détourna de moi et se mit à faire la vaisselle dans un silence religieux.
-Je payerai quelqu’un pour tout ça.
Elle émit un ``pfff`` étouffé tout en haussant des épaules.
-... D’accord... Je le garderais, mais uniquement pour te faire plaisir et ne compte pas sur un bon traitement. Je suis pas son père.
Des jouets partout. Des figurine , des dindes à bascule et surtout des armes factisse.
Cette chambre semblait figée dans le temps. Sur les murs des dessins d’enfants représentant des monstres et des animaux qui semblaient mené un duel avec les taches de peintures sur la tapisserie rouge.
Il y avait là pour des heures d’amusement et de découverte. Si les croquis n’auraient pas été maladroitement signés “Draken“ j’aurais cru à la chambre d’un autre enfant, de son frère peut-être, ou de sa soeur. Mais il n’en était rien. La maison était si petite que l’étage ne comportait que deux minuscules chambres.
Mon regard fut presque instantanément attiré par la peluche d’un nomoon, j’avais le même, en moins abimé, moins poussiéreux, mais le même. Mon père me l’avait offert à mon dernier anniversaire.
J’avais vivement protesté et dit que c’était un jouet de bébé. Dans ma colère la pauvre peluche avait fait un vol plané à travers la pièce.
Comme je regrettais...
Avec des geste cérémonieux je le pris de l’étagère et le contempla, l’un de ses yeux en bois était décousu. Puis je fondis en larmes en le serrant contre moi.
Curieusement mon chagrin semblait me réchauffé le coeur. Après quelques minutes je séchais une fois de plus mes joues et me mis à me distraire avec les animaux en peluches.
Des pas résonnèrent dans l’escalier, on venait me chercher, il était temps d’affronter mon futur, de gré ou de force...
-Tu vas voir j’ai fait des cookies au chocolat ils sont tout chaud. Si tu les aimes je t’en donnerais avant de partir.
Ma mère descendait avec le gamin. Elle semblait rayonner.
-Hey ! Qu’est ce qu’il fait avec mon Moon ?
-Oh ma chérie ! Tu peux lui laisser, il n’a plus aucun jouet !
En silence, il me tendit la peluche pour me la rendre.
-Non... J’en veux plus.
-Ne fais pas attention à lui bout de chou. Il aboie souvent mais ne mord pas.
Il écrasa sa dixième et dernière cigarette devant la porte d’entrée de sa maison. Sans attendre il me fit assoir surle grand tabouret devant le comptoir en marbre de sa cuisine qui ressemblait plus à une table haute, avant de se poster en face de moi.
Serrant fort ma peluche contre moi j’essayais de ne pas trembler. Son regard était si intense, sans une étincelle de gentillesse, ses sourcils froncés faisait apparaitre un réseau de fines rides au coin de ses yeux.
-Les règles sont les suivantes, commença-t-il avec assurance. Si la parole est d’argent le silence est d’or. Donc on ne cri pas, on ne chahute pas, on ne saute pas et on ne cour pas. Tu ne sors que si je t’en donne la permission, tu ne mange que si je le veux, et ne me dérange pas quand je travaille...
Il croisa les bras et se redressa.
-Comment tu t’appelles?
-V... Valentin.
-Valentin j’exige que tu m’appel monsieur. Dans quelle école vas-tu ?
-C...celle d’astrub.
-Mffh, c’est pas une école ça c’est une garderie. As-tu des bonnes notes ?
-Je... Je crois.
-Réponse insuffisante et je suppose que tes résultats le sont tout autant. Je n’ai pas que ça a faire mais cela me répugnerait de vivre avec un inculte, alors à partir de maintenant cette maison sera ton école. Je ferais en sorte qu’un jour tu me dises merci pour tout ce que je t’aurais enseigné.
-Mais... Mais à l’école j’ai tout mes amis et...
-Oublie tes amis ! Tu les verras si je le veux bien.
-Oui monsieur
Il allait s’éloigner lorsqu’elle se rappela d’une chose.
-Ah ! Et il y a une ultime règle à respecter ici : laisses le siège des toilettes baissé !
Voila voila, je vous souhaite une bonne lecture ;) une bonne peinture, de l'inspiration, plein de bisoux ( touche personnel ;) ) et du bonheur.
Amicalement Rhys
PS : Navré pour les fautes d'orthagraphe si il y en a, je n'ai jamais été très doué