The beast

Une nouvelle histoire, pas dans le même style que les autres :

« Puisse Sigmar en témoignait, cet expédition ne m’emballait pas. » pensait je, en marchant sur les ruines de la cité de Morheim. J’était accompagner d’un chasseur, d’un maraudeur connaissant peut être que trop bien les forêt et ses créature, et d’un nain qui ne faisait que grommelait intéressant par le butin de la peaux de cet chose. Si cette expédition avait était créé, c’était pour résoudre le mystère de la « chose », qui était censé avoir détruit toute la cité. Pour moi, rien de plus qu’une attaque rapide et mortelle d’elfe noir. Dans mon passer de médecin soldat, j’avait eu à affronter ses guerriers, et je fut un des seuls survivant. Je ne préfère pas me rappeler de cet bataille, et un crie du chasseur me permit de reprendre mes esprit. J’avançai vers lui et trouva le corps d’un homme mort alors qu’il criait, sans aucune trace de blessure.
« Il est mort d’effroi. » dit le chasseur.
« Je ne crois pas, touchez sa poitrine. »
Le chasseur m’obéit et en touchant son corps, il remarqua que tout son squelette droit avait disparut.
« Mais qui ? demanda –il, qui pourrait faire une telle chose sans aucune trace. »

Une petite fille, une poupée à la main, s’approcha du corps. Le nain bloqua son passage jusqu’à que la fille pousse un murmure :
« Papa »
Le nain la laissa alors passer. La petite fille murmura de nouveaux :
« Papa … Il à de la chance, n’est ce pas ? »
« De la chance ? »
« Oui, dit la petite fille, papa est mort par la chose, elle planta une aiguille dans le torse de sa poupée, papa est devenue un des élus de la chose. Papa est heureux. » Elle transperça alors la poupée avec l’aiguille.
« Qui est cet chose ? » demanda le nain, en tremblant.
« Personne ne le sait. Mais si vous avez l’ultime honneur de vous faire tuez de ses mains, vous le serez. »
« Rentre chez toi, petite. » dit le maraudeur. « Une légende parle d’une bête engendrer par le chaos, qui vit dans la forêt. Dans la grande guerre contre le chaos, cette bête tua six cents personnes, et on les retrouva tous avec des lettres de sang. Chaque lettre était l’une de ce mot : B-E-A-S-T. Un chasseur partit dans la forêt, d’où il ne revint jamais. Mais la bête ne frappa plus. Elle est revenue … »
« Je ne croit pas, dit le nain, sinon il y aurait une lettre marquer sur le cadavre. »
.Le maraudeur se pencha et ouvrit les cotes du mort. Entre la chair et le sang, on pouvait facilement apercevoir une lettre : B. »

Un cri résonna non loin d’ici.
« La petite. » dit je en courant. Quand j’arriva, on pouvait voir d’énorme trace et les pas de la petite. Tous deux allait dans la forêt.
« Il faut la récupérer. » dit le chasseur.
« C’est bien beau, dit le nain, mais je ne veux pas mourir comme elle l’as fait. »
« Moi j’y vais. » dit le chasseur.
« Moi aussi. » dit le maraudeur.
« On n’as pas vraiment le choix. »

Ainsi nous nous sommes engouffré dans la forêt, à la recherche d’une fille qui allait être contente de mourir par cette chose. Nous suivions les traces de la bête pendant plusieurs kilomètres, et nous tombons sur une énorme falaise, impossible à grimper.
« Il faut revenir en suivant les traces de la bête. » dit le nain.
Tout le monde fut d’accord avec cette idée, mais quand nous nous retournons, les traces avait disparut. A la place, nous avons trouvé le corps de la petite fille effrayer et morte, avec un E en sang sur son corps meurtrit.

pas mal!

et de plus je vois ton histoire pour la première: sérieuse.

description, dialogue...

vivement la suite. //

La suite :

« On à un autre problème … » dit le chasseur.
« Quoi ? »
« Le sac où on avait mit toute les armes à disparut. »
« Pas vraiment toutes … » dit le nain en sortant une hache.
« Tu nous as mentit ! »
« Ca pourrait tous nous sauver de cet chose. »
« Peut être, dit je, mais tu as abuser de notre confiance. »
« Silence ! dit le nordique, nous sommes perdu en pleine forêt avec une « chose » et vous, vous vous disputez parce qu’un nain à le moyen de nous faire survivre ? Je vais grimper sur cette colline et voir où se trouve le village. »
« Bonne chance. » dit le chasseur.

Lentement, le nordique disparut de notre champ de vision. Une heure après qu’il soit partit, le nain se releva brutalement, et dit :
« Vous avez entendu ? »
« Quoi ? »
A mont tour, j’entendis des bruits. Des grognements, des craquements de branche … des feuilles mortes qui bouge. Le nain sortit sa hache et s’en alla vers les bruits.

J’étais seul avec un chasseur. La peur envahissait un à un mes membres, et les bruits étaient toujours là. Le chasseur prit un bâton poser au sol.
« Juste au cas où … » dit-il.
J’entendis des craquements derrière moi. Je me retourne et aperçoit le corps de la petite fille, qui avait disparut quelques heures plus tôt.
« C’est le nordique qui l’a mit là. » dit je.
Le chasseur me regarde avec de grands yeux.
« Il à voler le sac d’armes. Ensuite, voyant que le nain en avait une, il l’a attirer dans un piège. Maintenant, il va nous attaquer. »
« Lui ? Un dangereux psychopathe ? Je ne pense pas … »
« Vois tu une autre explication ? »
« Le nordique, c’est mon frère … »
« Ce qui fait de toi une cible encore lus facile. »

« Ce n’est pas le nordique. » dit la voix du nain.
« Comment peux tu en être sur ? » demandait je.
Le nain lança la carcasse du nordique où, sur son visage effrayer, il y avait un A …
« Frère … » dit le chasseur, en s’agenouillant.
« Tu pleureras son corps plus tard, pour l’instant, il faut partir … » dis je
« Comment peux tu être si insensible ? » demanda le nordique.
« Réfléchie, si ce n’est pas ton frère qui fait les craquement alors qui ? »
« Courir … »

Voilà, des réponses ?

Mmmmm! très interressant, ça reste mystérieux...

le "A"? je parie qu'il vas épeler son nom ou autre chose. une lettre par victime.

le suite please.

Bravo, pour une fois c'est une histoire serieuse! !O
Juste un probleme de background: la cite de Mordheim a ete detruite par la Comete A Deux Queues, en 1999 C.I. Mais ce n'est pas grave, il suffit de changer le nom de la ville!
Continue!

On peut dire que cela se passe avant cet époque.
Bref, la suite :

Cela faisait plusieurs kilomètres que nous courrions, mais cette chose ne lâchait pas prise. Je ne préférais pas me retournait, ayant vu les visages effrayer de ces victimes. J’étais à bout de force, mais je ne m’arrêtait pas de courir. Je ne m’arrêterais pas. Après encore quelque minute, je n’entendis plus les bruits de la chose. Je courût encore mais je m’arrêta finalement. A cotes de moi, le nordique et le nain. Ils se regardaient méchamment et je demandai, essoufflé :
« Que se passe t-il ? »
« Je suis sûr que c’est lui qui à tuer mon frère ! »
« Pardon ? »
« Il a volait les armes, ensuite quand mon frère est partie, il à fait semblant d’être courageux et est parti à son tour. Là, il à rencontrer et tuer mon frère. »
« Et qu’est ce qui nous aurait poursuivit ? »
« Une simple bête. »
« Tiens, dit le nain, parlons en des bête : il porte la marque de l’inquisition, ce qui veut dire une chose : c’est une de ces chose. »
« Quoi ? »
« Certains nordique, au vue des mutations du chaos, peuvent se transformer en enfant du chaos. Si la volonté de l’hôte est assez fort, il redevient humain quelque temps, et ainsi de suite … »
Ces deux théories étaient possibles. Chacun des deux pouvait être cet « chose », mais j’essayai de rester positif.
« Ce n’est aucun de vous deux, dit je, c’est ce truc qui nous as poursuivit le seul responsable. Maintenant, trouvons un endroit pour dormir, et ne vous disputez pas. »

Après quelque centaine de mètre, nous arrivions dans un chalet. J’entra ne premier et me retournant pour voir l’intérieur, je poussa un grand cri. Le nain et le nordique allèrent voir ce qui se passer, et eux aussi furent surprit, voir choquer. La petite fille morte était là, debout, vivante. J’était figer et un seul mot sortit de ma bouche.
« Comment … »
La petite fille rit d’un rire d’enfant, et partit dans une chambre, au premier étage. Je grimpa la voir, quand j’entendit des grognement. Les même qu’avant. Dans la chambre. Elle était revenue … La chose …

Des réponses ?

il l'as vu? c'est un enfant du chaos? pitié! la suite! (pitié! le dis pas trop tôt)

Merci romarik. La suite, comme demander :

Nous nous enfermions dans une autre chambre. J’entends les pas de la chose. Elle approche. Je peux entendre son souffle. Elle est proche, très proche. Soudain, elle donne un violent coup contre la porte. Elle grogne et refrappe, encore et encore. Je ne sait pas si la porte va tenir, je sait juste que si elle ne tient pas, pour nous, c’est la fin … Puisse Sigmar nous protéger.
Soudain, les bruits s’arrêtèrent. Le nain leva sa hache et, avec un courage que seul un de sa race peux avoir, ouvrit la porte. Son mouvement s’arrêta soudain. A mon tour, j’allait voir ce qu’il y avait derrière la porte. Il n’y avait pas la bête. Il y avait la petite fille. Pourquoi la chose ne l’avait pas tuez ? Où se trouvait t-elle ? A ces questions, je n’aurais pas de réponse.

Nous décidons de partir du chalet. Dans la forêt, nous aurons plus de chance d’échapper à la chose que dans un espace limité. Nous sommes perdu, en pleine nuit, avec une chose à nos trousses. La situation s’annonce mal. Le chasseur nordique grimpe sur un arbre, voir s’il ne repère pas la chose ou un endroit en sécurité. Il dit :
« J’aperçois de la fumée. »
Je n’était pas parfaitement rassurer. J’avais entendue trop d’histoire sur des humains sauvages, mangeant leurs frères de leurs dents pointues. Néanmoins, c’était sans aucun doute plus sûr que de rester avec la chose …
Après plusieurs kilomètre, je parvint enfin à voire d’où provenait la fumée. Un cercle d’homme tout de noir vêtu se trouvait autour d’un feu de camps. L’un deux s’avança vers nous et dit :
« Vous avez du courage pour venir dans la forêt où se trouve la chose. »
« Vous savez … »
« Bien sûr que nous savons qu’il y a la chose. Tant la chose peut être meurtrière pour ceux qui pénètre son royaume, elle peut être tout aussi protectrice envers ceux qui la vénère. C’est pour ça que nous sommes ses adorateurs. »
Je ne peux m’empêcher de poser une question :
« Qui est la chose ? »
« Nous n’avons pas le droit de la voir. » dit l’homme en retirant sa capuche, montrant ses yeux poignarder.
Je recule d’effroi.
« Maintenant, nous allons apaiser sa divine colère. Dhrang ! »
Un homme sort du cercle, et vient s’allonger sur un autel de pierre. Quand je voit notre interlocuteur qui sort son épée, je ferme les yeux, ne voulant pas voit ce qui va se passer. Mais j’entends son souffle. Il à l’air calme, sûr de lui, mais pourtant un peu inquiet. A-t-il fait le bon choix ? Soudain, le bruit de l’épée qui transperce la peau et la chair, le souffle bloque. Enfin, l’épée ressort sous un bruit du sang qui sort du corps. Le souffle reprend mais lentement baisse, puis s’arrête.
« Mais la bête n’est pas totalement apaiser. Elle à trouver une nouvelle proie : vous. La bête est patiente, elle attend le bon moment. »
« Et quand ce moment arrivera ? » demande le nordique.
« Maintenant. » dit l’homme.
Soudain, une forme dans la nuit sort de la forêt et se jette sur le nain.

Voilà. Des réponses ?

Je lis les suites de ton histoire avec autant d'interet qu'auparavant et je t'encourage a continuer!

La suite :

Plaquer au sol, le nain ne pouvait rien faire. Sa hache était à plusieurs mètres et tout espoirs semblaient perdus pour lui. Je restais figé, quand la chose me regardât. Je n’aperçut que ses yeux, mais c’était déjà trop. C’était des yeux, inhumain, qui ne semblait éprouver que de la haine, et c’était peut être le cas. Elle me fixait, et dans ses yeux, je voyait que j’allait être son prochain repas. Soudain, je sentis mon esprit dévier. Mon don, ou devrais-je dire ma malédiction. Je pouvais voir dans les esprits, hélas ce pouvoir était incontrôlable. Je voyais dans les yeux inhumains de la bête. Je comprit où j’était dans le passé : elle attaquait Mordheim. Je la vit tuer un à un ses habitants. Un cri le plus terrible qui soit me libéra de son esprit, et j’essaya de me concentrer sur ce qui c’était passer. Le chasseur avait prit la hache du nain, et l’avait tirer sur la chose. Ensuite, elle avait poussé ce cri. Ce cri inhumain, sans cœur, sans âme, mais avec instinct. Je court pour fuir sa colère. Après quelque dizaine de mètre, je m’effondre, presque mort. Le nordique et le nain arrivent ensuite.
« Il faut repartir, dit le nordique, elle est là. »

Je me relève et court avec le peu de force qui me reste. Les bruits s’arrêtent une fois de plus. Elle joue. Elle joue avec nous, avec nos nerfs. J’essai de rester optimiste, mais nous n’avons très peu de chance de nous en sortir. Le nain me demande :
« Que se passe t-il ? »
« C’est bien elle … Elle, qui à tuer les habitants de Mordheim. »

la description de la chose commence!
déjà elle (ou il??) as des yeux inhumains. et je vois le mot "bête" surement une chose qui marche a 4 pattes...continue, continue..

Merci romarik.
La suite :

« Peut être, mais la question à savoir est QUI est-elle ? »
« Je pense que nous serons mort bien avant. » dit le nain.
« Ha, vous les nains vous êtes pessimiste. »
« Nous sommes poursuivit par une chose qui à tuer plus de cent personne, et nous sommes perdu dans la forêt. Y a de quoi l’être … »
«Si on perd espoir, nous sommes perdu. » dit je.
Pendant ce temps, le chasseur grimpe à l’arbre, voir s’il n’y avait pas un signe de civilisation. Hélas, ses espoirs furent vint …
Je l’entendis. Elle était proche, à quelque dizaine de mètres. Comment n’avais-je pas pu l’entendre ? Qu’importe, au fond …
« Courrez ! » criais-je en partant à toute vitesse. A ce moment là, j’entendis les feuilles craquer sous ses pattes ou ses jambes. La chasse repartait pour elle. Elle est très rapide, elle serait bientôt à portée pour me mordre. Je sens son souffle sur mon cou. Il est calme malgré sa vitesse impressionnante. Je cours de toutes mes forces, quand je chute. C’est trop tard, c’est la fin. Elle est à quelque centimètre, mais elle part, elle court vers le chasseur. Elle n’as pas oublier la blessure qu’elle lui as faîte. Je vois que j’ai son sang noir sur les mains. Je court, court loin avec le nain, mais malgré tous mes effort, j’entends le hurlement de chasseur quand il meurt, puis les grognement de cet chose. Il est mort. Cette expédition à un goût amer. Nous partons, un membre de l’équipe en moins …

Voilà.

Suberbe histoire, félicitation . La "chose" fait vraiment fliper. Que dire de plus sur cette histoire à part qu'elle est très bien.

les feuilles craquent...et il entend ça? impressionnant.

bon la description suivante de la bête: rapide et as du sang noir.

L 'histoire est vraiment superbe félicitation
ca ma fait beaucoup penser au "projet blair witch " , et vous ?

Citation :

Ca me fait beaucoup penser au "projet blair witch"

C'est le même genre, le même thème.

Citation :

Les feuilles craquent ... et il entend ça ?

Disons, qu'il reste très concentrer sur les bruits pour savoir à peu près où est la chose.

Suite :
Le soleil me réveille tôt, mais je ne m’en plaindrais pas. J’ouvre les yeux et aperçoit le corps du chasseur avec un « S » sur le crâne. Devant moi, un des adorateurs de la bête.
« Lui aussi est mort …, dit-il, il n’en manque plus qu’un ... »
« Plus qu’un ? »
« Oui, la chose tue les gens par cinq. L’automutilation. L’un de vous deux va survivre. Je ne saurais dire lequel … »
« Y a-t-il une chance qu’on survive tous les deux ? » demanda le nain.
« Aucune. »
« Je suit près à mourir pour une autre vie. »
« Ca ne marche pas comme ça. C’est la chose qui choisit, pas vous. Mais je pense qu’elle n’a pas terminé son travail avec toi. » Dit-il en regardant le nain.
Je reste où je suis. Si j’avais le choix, je n’aurais pas su quoi choisir. Mourir en sauvant une vie, ou survivre en ayant la mort de quelqu’un sur le dos. Le nain prend violemment l’adorateur, met sa hache à cotes de son cou et demande :
« Mais toi, tu veux mourir pour la chose n’est ce pas ? Alors, pourquoi tu ne le fais pas ? »
« Parce que j’ai envie que tu crève. »
Le nain commence à s’énerver.
« Laisse le. » dit je.
«La chose n’aime pas qu’on fasse du mal à ses adorateurs. »
« Alors, elle aimerait pas ça. » dit le nain en tranchant l’homme.
Quelque seconde plus tard, un cri résonne dans la forêt. Elle l’a su. Comment, je n’en sais rien. Mais elle l’a su. Et c’est suffisant pour me faire courir.

Cela fait plusieurs heures qu’on court, mais je ne m’arrête pas. Je sait qu’elle est là. Proche. Même très loin de nous, elle arrive toujours à nous rattraper. Mais ensuite, malgré le fait qu’elle pourrait nous tuer, elle laisse un écart entre nous et elle. Je ne sait pas pourquoi, mais je ne vais pas m’en plaindre. Soudain, elle freine brusquement. Une sorte d’instinct de crainte la fait se stopper et elle part dans l’autre sens. Je me retourne quelque minute après. Il n’y a pas de trace de la bête. C’est très étrange. Elle ne peut pas voler tout de même. Non, il y a des craquements de branches. Mais alors comment ?
Soudain, j’entends un bruit. Il vient du sol. Je me penche, enlève les feuilles mortes et j’aperçois une trappe. Je l’ouvre, et un immense passage souterrain apparaît sous mes yeux. Il y a aussi des branches et des feuilles. Etrange. Je cherche où est le bruit, mais tout ce que je sait, c’est que ça ferait un abris contre la bête. Je m’allonge sur le sol, et respire, lentement. Tant de question et si peu de réponses …

Voilou. Des réponses ?

elle tue par 5?
ok ok donc voyons pour les lettres:
1: ? 2: ? 3:A 4:S 5: bientôt. On as pas pu voir les deux premiers mais le dernier n'est pas encore arriver. qu'est ce que ça veut dire? XXASX... si c'est une énigme, je trouve ça géniale!

A ce passage, vous pouvez résoudre deux mystère :
1/ quelle est le mot que la "chose" va écrire.
2/ comment la chose fait pour passer sans laisser de trâce.
Pour ceux qui aime bien les énigmes, à vous !
La suite, qui révèles les deux chose plus haut, mais en relève plein d'autre :

Au fil du temps, je reprenait ma respiration, et je réfléchissait aux questions qui me tracassait l’esprit. Comment faisait-elle pour faire du bruit sans laisser de trace ? Mes pensée furent interrompu par le cri du nain qui m’appelait. Je courrut, et le rejoint dans une grande salle, où partout il y avait des cadavres de la « chose » chacun avec une lettre : B-E-A-S-T.
« Elle nous poursuit sous terre. » dit le nain « Voilà, pourquoi on ne voit pas ses trace. »
« Tu veux dire qu’elle peut … être là ? »
« Avant de partir, j’ai un truc à te montrer. »
Il m’emmena dans une autre salle, où il y avait les même corps, sans aucune trace de griffure, sans aucune lettre. Mais les même corps. Tous entrain de dormir.
« On peut sauver les deux frères … » dit le nain.
« On peut tous les sauver. »
« La chose est là comme tu l’as dit. On as pas le temps. Il faut faire des choix. »
« Chut ! » dit je. J’avais entendue un bruit. Un craquement.
« T’as raison … Elle est là. »
Nous courrons vers la trappe à une vitesse impressionnante. Elle rattrape le nain, puis arrête sa course, me laissant le temps de partir.
Je sors, choqué par ce que je viens de voir. Elle enleve et donne la vie à la fois. Je repense à tout cela : Voilà pourquoi elle ne nous mordait jamais, car elle ne pouvait pas, voilà pourquoi on ne la voyait pas, voilà pourquoi elle ne laissait pas de trace. Non, si elle nous poursuivait, c’était pour nous faire découvrir cette trappe, pour qu’on entre dedans, et qu’on se fasse piéger. Elle nous poursuivait pour nous mener à l’abattoir. Mais qu’importe, ce soir, j’allais sauver mes trois compagnons.

Voilà, des réponses ?

sans trace, sous terre? elle vole?non.. elle rampe comme un serpent? et elle ne mord pas...les serpents ça mord? peut être mais elle devais avoir des griffes pour pouvoir marqué des lettres....mmmmmm.....ça griffe sans laisse des traces...j'y pense, les araignée, ça laisses des traces?

oh là là là tu me fais réfléchir nain jaune, continue!

Citation :

Continue

D'accord :

Je m’engouffre dans le sous terrain, avec pour seul arme l’envie de libérer mes compagnons. Je rentre dans la salle où les répliques des gens dorment, d’un sommeil inhumain. Ma torche éclaire chacun d’entre eux, mais soudain j’entends un bruit. Je me retourne et aperçoit un de l’adorateur de la chose. Je lui demande :
« On peut les faire sortir de là ? »
« Seule la chose le peux. Ensuite, ils reviennent à la vie, et commence à l’adorer … »
«Vous … Tous les adorateurs … Vous vous êtes fait tuer par … »
« Bien sûr. Mais sait tu pourquoi on la vénère ? Parce qu’on as peur. On connaît le secret, et on as vu ce qu’elle peut faire. Si tu as le temps, je te raconterait une histoires d’expérience, de cobaye, d’effet secondaire … »
« D’effet secondaire ? »
« Oui, les morts de Mordheim voyons. Mais je crains que le temps te manque pour cela. »
« Pourquoi ? »
« Parce qu’elle est là. »
Je me retourne, et revoit ses yeux. Inhumain toujours. Une telle assurance, une telle envie. Puisse Sigmar me protéger. Elle grogne. Mais différemment qu’avant. Elle à l’air de s’exprimer, dans un langage que je ne, et que je veux comprendre. L’homme me parle :
« Si tu veux récupérer tes amie, prend les. Mais elle vous traqueras, plus qu’avant. »
« Et nous lui survivront. »
La chose était partit.
« Maintenant parle moi de l’expérience. »
« Que croit tu qu’elle marque sur les personne ? »
« BEAST. Pourquoi ? »
« Elle ne marque pas ça. »
« Alors que marque t-elle ? »
« Mieux vaut que tu ne le sache pas. »
« Pourquoi ? »
« Un jour, je te le dirait, je te le promet. »
Que dire de plus ? Il ne veut pas me le dire, il joue avec moi. Comme la chose. Je sort avec mes trois compagnons, toujours endormit. Le nordique se réveille en premier. C’est le premier à être mort, donc ça ne m’étonne pas. Il répète la même chose :
« Elle est là. Elle est là. Elle est là. Elle est là. Elle est là. Elle est là. »
«Sait tu qui est ce ? »
Il me regarde, avec des yeux effrayés. Lentement, il pointe son doigt vers un monolithe qui sort de la forêt. Puis dit d’une voix sèche :
« Là, tu le sauras. »
« Alors c’est là que j’irait. »

Voilà. Des réponses ?

....ça reste un casse tête....
quelqu'un qui retire ou donne la vie, c'est un dieu! ou un mage très puissant!

mais j'ai du mal a voir qui est "l'homme"...

La suite :

Je me retrouve devant l’immense monolithe. Il est blanc sans aucune trace apparente, et je le contourne. Aucune réponse à mes questions, mais aussi qu’est ce que j’espérais ? Je me demande si cette bête est du chaos. Quelque seconde plus tard, des lettres bleues se marque. Ce que j’avais demandé se marque. Aussi tôt, de nouvelles lettres apparaissent, la réponse à ma question. Les lettres marquent : Mais qu’est ce que le chaos ? On te la définie comme « méchant » et « mauvais », mais c’est une explication simplifier pour les enfants. C’est juste un autre sens à la vie …
Un sens qui fait tuer des milliers de personne. Pensait je.
Certes, mais pourquoi ? Est tu sûr que c’est le chaos qui à déclarer la guerre. Est-il possible que ça ne soit pas le contraire ? L’histoire de Sigmar à était idéaliser sur bien des thermes, et sans doute la moitié de cela on était modifier. De plus, le chaos est comme vous : il tue ceux qui ne vénère pas leurs dieux.
C’est différent.
Non, c’est pareil.
Revenons à ma question, est ce que cette chose est du chaos ?
Si c’est vraiment ce que tu veux savoir, alors non, elle n’est pas du chaos.
Mais alors qui est-elle ?
Je ne peux répondre à cette question.
Comment donne t-elle la vie ?
Es tu sûr de vouloir le savoir ? Tu poses beaucoup de question, mais as-tu vu ce que la vérité avait infligé à ton ami ? Que ferais tu pour avoir la vérité ?
Qu’est ce que cela te fait que mon esprit soit perdu ?
Encore des questions …
Il m’a dit que je pourrais avoir des réponses …
C’est vrai, mais il ne t’as pas dit à quel prix.
Lequel serait ?
Tu deviendrais un de ces enfants …
A qui ?
A la chose …

Prendrais t il un risque?

ça me rapelle la légende du Dieu Odin: Odin voulait tout savoir, il doit boire la source mais en échange il doit lui donnez son oeil. Voila pourquoi Odin est un borgne! il as bu et s'est fait arrché l'oeil.

Mais là? il prendrais aussi un risque où il risque de donnez son âme à la chose?

La suite :

Un de ces enfants ?
Je répète ma seule question : Que ferais tu, que sacrifierais tu, pour le prix de la vérité ?
Répond à ma question !
Elle le fera …

A ce moment là, je me retourne, et l’entend. Je sait quelle se trouve sous moi, dans le sol. Mais peut elle remonter vite ? Je n’en sais rien. Je cours, cours encore et encore. Je décide de revenir à l’endroit où sont les autres. Courir, courir. J’arrive enfin à l’endroit voulut et voit tous le monde réveiller.
« Elle arrive » dit le nordique.
Soudain, j’entends quelque chose sortir de la terre. Je sait ce que sait, et ne veux pas en savoir plus pour l’instant. J’emmène le nain et le chasseur. Je sait qu’elle ne fera pas de mal à un de ses adorateurs. Le nain me parle :
« Que m’est-il arriver ? »
Je suis rassuré. Il n’a pas encore sut le secret, ce n’est pas un adorateur. Mais comment lui expliquer ? Difficile de savoir qu’on a été tuer, mutiler par la chose. Difficile de savoir qu’on est qu’une copie à laquelle on a donner la vie, avec un pouvoir inconnue. Difficile de savoir que notre vrai corps et sur une pile d’autre, et qu’on a faillit devenir un fou vénérant cette chose. Que dire dans ce cas ? Le mot qu’il dit fut simple :
« Merci … »
Je lui expliquai ensuite la chute du nordique. J’étais triste de ne pas l’avoir sauver à temps, de l’avoir laisser partir seul … Mais il était trop tard, maintenant. Je jurai donc de défendre le nain, même au prix de ma vie.

j'ai pas très bien compris... c'est le nordique qui veut protéger le nain au prix de sa propre vie?


la chose est un verre de terre ou quoi? ou ....une TAUPE? non?