Concours de Récits -sujets n°3- [ouvert]

Règle du Concours à voir avant de poster:

https://romarik.forumactif.com/la-taverne-histoires-recits-f51/planning-concours-recits-des-nains-t1415.htm#14122



Sujet N°3!:

Citation :

Alors que le guetteur Kord Olinson surveillait tranquillement.....

Alors que le guetteur Kord Olinson surveillait tranquillement la colline, de la muraille de pierre,
il vit s'approcher, au loin, dans le ciel, une masse noire.
"Tiens ? Qu'est-ce que c'est que cela ?" se dit Olinson.
Plus la masse noire s'approchait, et plus le guetteur pouvait entendre des "crôa crôa" et des "fuyez fuyez tous !".
Kord, qui reconnaissait les voix malheureuses, se mit à murmurer dans sa barbe : "les Corbeaux... Les Corbeaux !"
Et, alors que les premiers Corbeaux se dépêchaient de passer la muraille, il cria "Qu'avez-vous ? Qu'avez-vous ?"
Un corbeau se posa sur le bord de pierre grise de la muraille, et lui dit, en se pressant : "Les orques ! Les orques et les chauves-souris ! Ils viennent ! Ils attaquent Erebor ! Préparez vos meilleurs guerriers !" ce à quoi le Nain répondit : "Mais pourquoi fuyez-vous donc ? Ne pouvez-vous pas vous cacher ?"
Le corbeau cria, en prenant son envol "Les Chauves-souris nous en empêchent ! Notre Maître a été abattu ! Fuyez !"

Sans perdre de temps, le nain prit une torche, essaya de l'allumer maladroitement avec son briquet et, quand enfin, des étincelles eurent allumé le bout de bois, il courût jusqu'au brasero qui était au bout de la muraille en criant "Les Orques ! Les Orques ! Ils nous attaquent !" et jeta la torche dans le bol de fer.

Le feu crépitait, et lançait des étincelles, alors qu'à  l'horizon, dans la nuit noire, commençaient à poindre des centaines de petits points de lumières, qui s'agitaient et qui permettaient de voir le visage de ceux qui les portaient.
Au dessus de cette armée, des créatures volaient, en poussant des cris perçants.

Lorsque les orques eurent presque atteint la forteresse, la muraille s'était parée de milliers d'yeux féroces, et, dans la Montagne, des cris retentissaient, accompagnés du tintement des épées et des marteaux nains.

Kord, malgré son angoisse, était resté sur la muraille, et, ayant vu un Corbeau qui avait été retardé par quelque chose, il se dépêcha de lui crier "Salut à toi, Ô Corbeau ! J'ai un message urgent à faire passer à nos amis Nains, éloignés d' Erebor !" et le corbeau se mit à voler en rond, au dessus du Nain.
"Ô Nain, des Messagers se sont déjà mis en route pour les prévenir ! Leurs ailes les portant déjà vers vos amis, il me serait bien inutile de me risquer vers eux ! Adieu !" et le Corbeau s'en alla, au dessus de la Montagne.

"Qu'Aulë soit avec nous", dit le Nain, en murmurant dans sa barbe, et en fermant les yeux. "Qu'Aulë soit avec nous".
Le cri féroce des orques et de leurs créatures descendait alors sur la colline.


Je ne sais pas où poster ce message, donc je l'ai posté ici. J'espère ne pas avoir commis de faute, en le mettant ici  ?

Pour ce concours, oui c'est bien ici.

Super !

Ma participation

Alors que le guetteur Kord Olinson surveillait tranquillement sa bière blonde
sous un ciel bleu saphir tacheté de quelques mousse argentée
il ruminait dans sa barbe se disant "quel ennui de faire sa ronde,
heureusement que ma délicieuse bière m'aides à patienter,

sans ma douce bibine, les journées sembleraient bien vide
pas d'ennemis à l'horizon, je peux continuer de la savourer en paix.
avec moi en garde, aucun risque d'attaque de skavens ou de goblinoide
de toute façon que risquons nous ? nos murs sont bien trop épais."

Mais tandis qu'il parlait à sa bière comme à une amie, il ne s’aperçût point  
que les portes de la citadelle avaient étés forcées par les peaux-vertes
par une armée qu'un guetteur attentif aurait vu venir de très loin.

La morale de cette histoire est très simple, ne l'oubliez pas ami nains
n'abusez pas de la bière quand on attends de vous un comportement alerte
ou vous deviendrez des proies faciles pour les orques et gobelins.

Belle morale !

voila ma petite participation.

Les lueurs du soleil commençaient à perdre de leur  intensité, le groupe marchait déjà depuis deux jours sans avoir fait de réel arrêt, et le moral des guerriers ce faisait belliqueux. Lorsqu’un des sergents de la compagnie somma l’arrêt de la chasse.
- Ragad, stop cette marche forcé, notre clan n’en peut plus, un arrêt de quelques heures ne changera pas les choses, on finira par les rattraper ces faces de rat, tôt ou tard.
D’un geste rapide et sec, le vieux chef leva le bras droit ou il tenait fermement sa lourde hache à deux lames gravé de plusieurs runes, ce qui stoppa la compagnie. Il se retourna et fixa sont sergent du regard. Avec sa voix roc et sur un ton calme il répondit :
-  Je sais que chacun d’entre vous à dépasser ses limites et que tous, moi compris sommes très fatigué, par cette chasse.
Et tout en marchant dans la colonne en donnant quelques tapes de réconfort à certain guerrier , il continua «  mais je peux vous dire que nous avons réussi. Ceux qui ont causé la perte dès notre sont la juste derrière cette colline. Leurs traces ne laissent aucun doute. Nous allons nous reposer cette nuit, interdiction d’allumer un feu et au petit matin nous les attaquerons. Sergent faite nommer deux guetteur et qu’ils soient près à me rejoindre dans une heure.
A ces mots qui signifiait l’arrêt de la poursuite mais également la vengeance, les nains firent tous le cri de ralliement « AOUH », et ce mirent au travail pour établir le camp ravit.

De ses gros doigts gantelet, Alrin sergent de la compagnie caressait sa longue barbes rousse parsemé de blanc tout en regardant ses compagnons à la recherche de deux bon guerriers capables de réussir la mission qui lui a été confier par Ragad.
Son visage un peu bourru, tatoué et couvert de cicatrice montrant sa longue expérience acquise sur de nombreux champs de bataille s’arrêta sur deux frères. Et de sa puissante voix les interpella.
- Kord, tork Orlinson venez la
- Que veux-tu sergent.
- Je veux que tous les deux aller aider notre chef dans la mission de ce soir.
- Par tous les dieux de la forge, tu peux compter sur nous
- De La forge et de la bière rétorqua kord a sont frère.
- Bien ! vous avez une heure pour vous préparez, laisser au camp vos armures et cotte de maille et rejoignez moi devant le bivouac de Ragad.
Les deux frères Orlinson firent une tape sur leur poitrine et inclinèrent légèrement leur tête, avant de partir ce préparer.
   
Une heure s’est écouler et les deux frères se retrouvèrent comme convenu devant leur sergent avec des tenue légère.
Ragad sorti de sa tante et s’approcha du trio.
Mes chers compagnons, votre mission va être délicate et longue. Nous savons que nos ennemis sont là juste derrière cette colline mais on ne sait pas ou exactement et combien ils sont. Vous devrez œuvrer à les repérer et à les surveiller. Et me tenir compte de leurs faits et gestes. Votre surveillance et vos renseignements seront primordial pour l’assaut de demain.
Tous les trois répondirent en cœur « AOUH » et prirent d’assaut la colline.
Le bruit du camp avait cessé de se faire entendre et les trois guerriers affrontaient l’ascension avec quelques difficultées . La nuit commençait à tomber et le groupe n’avait pas encore réussi à atteindre le col. Deux bonnes heures furent nécessaire aux nains pour arriver au sommet et voir des lueurs de feu camp.
Alrin stoppa les deux frangins, et à voix basse
- Kord, pars à gauche, Tork va à droite et je prendrais le centre, et lorsque la lune sera à son zénith on Se retrouve ici afin de retourner au camp, est ce claire ?
- Ouais
- Tachez d’être prudent et ne faites aucun bruit, on est là pour les surveiller, rien d’autre.
- T’en fait pas sergent mon frère et moi sommes les nains les plus discrets que la forge ai forgé.
- Ça c’est dit mon frère, et il est dit, « je l’ai entendu dans notre taverne » …
- Oui ça va, on a pas le temps, faite bien attention, la réussite de notre mission est basé sur la discrétion.
Les trois nains prirent des directions différentes et ce mirent à descendre vers les lueurs.  
Alors que le guetteur Kord Olinson surveillait tranquillement le camp de l’ennemis, il vit sont frère traverser le camp en direction d’une grande tante aux ornements digne d’un chef de meute. Kord se redressa et fit de grands gestes pour alerter son frère.
« Que fait cet idiot, sort de la par tous les dieux »
Alors que son regard avait perdu son frère, la peur et l’angoisse l’envahie. Lorsqu’il entendit du bruit dans les feuillages à côté de lui, il se retourna et dégaina sa hache, il se mit en position près à affronter tout ce qui pouvait surgir de là.
Alors qu’il tenait fermement sa hache, son imagination lui jouait des tours, sa peur lui faisait voir un monstre avec des défenses gigantesques, ou un orque gigantesque à l’haleine et la tais toi affreuse, Mais surgit rien de tout cela.
- Sergent !! je suis soulagé que ce soit vous, j’aurais pu vous tuer là
- Tait toi idiot, et dit moi que fait ton frère fait dans le camp ennemis, il nous met tous en danger.
- Je …, je ne sais pas sergent balbutia Kord
- Ecoute moi bien, tu vas retourner au camp et dire tout ce qui c’est passer, et les informations que Ragad a besoin et moi je vais chercher ton frère.
- Non c’est mon frère, et je ne peux pas le laisser dit le jeune guerrier rempli de colère
Sur un ton grave et ne laissant aucune possibilité de négocier, Alrin  renvoya le guerrier vers les siens.
Le nain remonta la pente, plein de doute et de peur pour son frère, avec la sensation de l’abandonner.
Quand au sergent, il regarda une dernière fois le guerrier partir, se tourna vers le camp et pris une grande inspiration, puis disparu dans la pénombre…

Le concours est-il encore ouvert ?

Oui, je pense.