Le signe particulier de Romarik
Automne, 2322
Romarik, un nain semblable à n’importe lequel d’entre eux, a une chose qui le différencie des autres nains. ça n'a été ni son apparence, ni sa voix, ni son intelligence... mais qu'est ce qui l'a rendu si différent?
Il y a longtemps, quand il était un aventurier, accompagnée de Grimbus de Fer, son fidèle compagnon. ils marchaient tous deux vers le nord,, à la rencontre de la lointaine Norsca.
Ce fus un matin, Romarik et Grimbus montèrent la pente d'une montagne. La frontière du royaume du chaos se trouvait de l'autre côté. Ils comprirent que ce royaume était difficile à vivre, l'air si pesant , et les pierres très noir ici et là, fusionnées entre elles. Un pays où la nature était aussi victime de cette énergie si lourde, si malsaine.
C'est alors qu'un géant difforme, dotée d'une bouche gargantuesque, de multiples pattes, apparut pour capturer ces deux aventuriers. Romarik se faisait capturer et Grimbus l'évita de justesse. Romarik, dont le bras gauche était libre, profita de cet instant pour attraper sa hache posée dans son dos. Grimbus de fer tentait de l'affronter par derrière. Grimbus De Fer et Romarik Levert se connaissaient depuis bien longtemps et ils avaient l'habitude d'affronter d'énorme adversaire en tenaille, leur formation de combat.
Le géant avait des capacités inattendus. Il ouvrit grand la bouche. Romarik, croyant se faire dévorer, préparait à lui donner son dernier coup. Mais le géant se mis à hurler. De plus en plus fort, sa voix monta sans cesse. Grimbus fini par reculer en bouchant ses oreilles , ne pouvant plus se battre dans ces conditions, tellement le vacarme était insupportable !
Romarik était piéger, et ses oreilles souffraient de plus en plus. Ses yeux tremblaient, un malaise, la nausée envahit son esprit au fur et à mesure. La voix du géant montait encore et encore. Du sang coulait des oreilles de romarik. Et tout à coup, ses tympans explosèrent, romarik se tordit de douleur. Dans sa rage et son incapacité à se défendre dans ces conditions, il lança de tous ses forces, sa hache, droit dans la bouches du géant, avant que son état s'empira.
La hache vola, telle une hélice et se planta dans la gueule du géant. Le Géant se tut, il lâcha Romarik. Le Géant se tordait dans tous les sens, crâchant des liquides noirs. Grimbus de fer revint aussitôt que possible, et voyait l'occasion d'achever ce monstre difforme qui devint inoffensif, trop occupé par sa douleur.
Grimbus frappa là où la hache était coincé dans la gorge. Et le géant périt.
Grimbus de fer courus vite vers Romarik, qui criait sans cesse de douleur. Romarik s'était refermé sur lui même comme un cocon. Immobiles et ses mains sur les oreilles, ses yeux fermé comme pour contenir sa douleur. Les pleurs de Romarik versait. La douleur était très intense.
Grimbus paniquait et ne savait pas quoi faire. Il courut récupérer la hache de romarik. Quand il revint, il essaya de voir son état:
« Romarik? Oh! Regarde moi! »
Grimbus voyait que romarik ne réagissait pas. Il essayait donc de lui faire ouvrir ses yeux:
« Là! Romarik regarde moi. Il te faut trouver un soigneur. Nous devons descendre, il y a un village montagnard dans le coin. »
Romarik ne comprenais pas mais il devinait ce qu'il avait pu lui dire. Trop inquiet pour l'état de ses oreilles, il décida de se lever doucement pour ne pas remuer la plaie de ses oreilles. La douleur était moins intense que tout à l'heure, mais il sentait ses oreilles gonfler, et elles étaient si chaude. Romarik déchira sa cape pour couvrir ses oreilles.
Ils firent une bonne journée et demi de marche pour atteindre le village. Grimbus devait donc rester éveillé jusqu'à l'arrivée.
Romarik parla tout bas:
« je ne marche pas devant toi car je ne te vois pas. Je ne marche pas derrière toi, car je ne peux pas surveiller mes arrières. Je marche donc à côté de toi. J'ai besoin de te voir et tu seras mes oreilles. »
Grimbus était étonné. Romarik avait su récupéré son sang-froid et s'adapter calmement dans cet situation.
Les deux aventuriers prirent la route vers le village le plus proche. La marche fut pénible.
Voilà plusieurs heures qu'ils marchaient. Romarik qui avait perdu l'habitude de surveiller ses arrières avec ses oreilles, s'y habitua avec ses yeux. Regardant à droite à gauche, chaque mouvement de poussière, de feuille, de silhouette, de l'ombre l'attira. Son corps s'habitua à cette nouvel façon de survivre: le regard.
Soudain Romarik aperçut une légere fumée à l'horizon:
« Grimbus! Là devant! Qu'est ce que c'est? »
Grimbus lui répondit mais Romarik ne vit que ses lèvres remuer:
« Je n'entend rien! »
Grimbus lui mîma un cheval.
Romarik le questionna: « Des cavaliers?... ». Oui fit signe grimbus de tête.
« Nous sommes en kislev, y a des grandes chances que ce soit des fiers cavaliers kislev ».
Après une longue mintute, les cavaliers les découvrèrent et se rapprochèrent des nains.
« Que faites vous ici, si proche du royaume du chaos? » dit le champion des cavaliers.
« Justement, c'est pour y mettre pied. Mais nous avons un grave problème. Une bestiole étrange nous as surpris. Mon ami, Romarik, saigne des oreilles. J'en serais reconnaissant de l'amener au village au plus vite. » dit Grimbus.
« Nous sommes venu car le village était paniqué après avoir entendu un cri de monstre. Nous sommes là pour vérifier s'il n'y avais pas de danger dans les environs. » dit le cavalier.
« Le village as entendu ce cri?? j'en reviens! ...Pauvre Romarik! C'est ce cri qui lui as pété ses tympans. Sachez que ce monstre as eu son compte. » dit Grimbus.
Romarik gémit de douleur.
« Bien, montez sur nos destriers, on vous emmènes au village, vous me raconterez tout ça en détail là bas. » dit le champion.
Romarik et Grimbus montèrent sur des chevaux. Et prirent la direction du village au galop.
Les Galopes du cheval fit mal aux oreilles de Romarik. Mais il souhaitait puisque tellement guérir, qu'il se dit bien qu'il fallait faire un effort.
Arrivée au village, les nains firent conduis directement chez un soigneur.
Le champion des cavaliers les dirigea vers la porte de ce soigneur. Le cavalier et le soigneur échangèrent la conversation à propos des nains et Romarik fut emmener dans une salle. Grimbus l'accompagna.
Le soigneur l'examina:
« il faut nettoyer tout ce soin, la plaie risque de s'infecter...Buvez de la vodka pour apaiser votre douleur, ensuite j'en verserais sur la plaie. ».
Le soigneur fit mine de boire, en désignant la vodka. Et il mîma aussi, qu'il verserais le contenu dans l'oreille.
« quel horreur! Je vais devoir souffrir à ce point-là? » dit Romarik.
Romarik but la vodka en bonne quantité, espèrant qu'il ne sentira rien. Ensuite le soigneur lui versa un peu de ce breuvage d'alcool dans l'oreille pour le désinfecter.
Romarik souffrait de douleur mais se retenait et reprenait de la vodka, une bonne dizaine de gorgée.
Pendant que Romarik buvait sa vodka, le soigneur essuyait et soignait son oreille. En le soignant, il fit mine de mauvaise nouvelle. Il se retourna vers grimbus:
« Ses tympans sont foutus....je préfère que se soit vous qui l'annoncez. »
Grimbus resta figer un moment et répond:
« Bon....je ne sais pas comment lui annoncer ça.....vous aurez pas une feuille et de l'encre? »
« Vous allez écrire? Bonne idée, j'aurais pas fait mieux. Tenez je vous passe le matériel et je vous laisse avec Romarik. » dit le soigneur.
Grimbus tendit la feuille et se mis à écrire en kazalid.
Et donna, à Romarik, la feuille. Celui-ci le lut.
Romarik relèva la tête droit en face de lui, vue sur le mur. La feuille glissa de ses mains. Son visage grimaca de plus en plus vers l'horreur. Puis au fur et à mesure, son visage devint colère et haine.
« J'ai perdu mes tympans.....et alors? Je n'ai qu'à le remplacer! »
Grimbus était terrifier à son tour. Jamais il aurait espérer ce genre de réponse. Grimbus de fer murmura:
« Si tu dis ça, c'est que tu as une idée en tête, n'est ce pas Romarik?....Je suis terrifier, que même dans cet condition, tu restes optimiste. »
Romarik se tourna vers Grimbus:
« Nous devons rentrer à Karaz Rhun. »
Grimbus lui répondit:
« La solution est là bas? ». Et fit d'un oui de tête.
En sortant, Grimbus de Fer demanda un service aux habitants de kislev. Il souhaita un poney et un chariot. Il pensa que romarik devait prendre du repos et se concentrer sur sa guérison.
Les habitants ne furent pas toujours généreux. Ils souhaitèrent un peu d'argent en retour. Leur départ fut prévue pour demain matin.
Quel est cette solution? Qu'est ce qui rend optimiste Romarik?
La suite pour bientôt.
Ps: la chirurgie n'existe pas! Ce n'est pas ça la solution.